Construction d’un puisard : les essentiels à retenir

Le puisard est l’une des solutions efficaces pour gérer l’évacuation des eaux de pluie. Sa mission principale est de protéger votre habitation des infiltrations d’eau. Autrement dit, il permet d’éviter une inondation de terrain. Cependant, il y a des points qu’il faut considérer avant de mettre en place de système de drainage. Focus sur la construction d’un puisard.

Voici comment construire un garage en bois

La construction d’un garage en bois se fait en quelques étapes seulement. Toutefois, vous devez avoir une certaine compétence technique pour pouvoir mener à bien la conception et ne pas gaspiller les matériaux. Dans le cas où votre maîtrise en construction est limitée, sollicitez les services d’une entreprise de construction. Un garage en bois séduit par son élégance et son design incomparable. Le toit plat y est aussi pour quelque chose. Par ailleurs, la porte principale peut être abattante ou coulissante. Vous pouvez aussi opter pour la pose d’un volet roulant et prévoyez une porte de service à l’arrière du garage. Dans cet article, nous vous guidons pour mener à bien la construction de votre garage en bois.

Conception du sol et des piliers

Il faut tout d’abord définir l’espace d’implantation de votre garage. Mesurez votre voiture pour connaître les dimensions nécessaires. Bien sûr, vous devez prévoir un minimum d’espace pour circuler lorsque la voiture se trouve dans le garage. Pour la hauteur, prévoyez 2,70 m pour ne pas vous sentir à l’étroit. Ensuite, procédez au terrassement du terrain. En effet, il faut que le sol soit parfaitement plat pour accueillir le coffrage de la dalle en béton. Votre garage nécessite un sol solide pour supporter le poids de la voiture. Préparez la dalle, coulez-la. Laissez le sol se sécher avant de continuer la construction.

Ensuite, assemblez les panneaux OSB, sous forme de poutre solide en bois, au sol. Cela facilitera l’assemblage. L’ossature se fixe dans la dalle à l’aide de vis et d’un équerrage pour s’assurer que ce soit bien droit. Pour un garage attenant à la maison, les poutres peuvent se visser aux murs. Monter chaque face de votre garage une à une.

Montage de la porte

Pour plusieurs modèles de garage en kit, la porte est déjà livrée avec le reste. Vérifiez les dimensions de la porte si vous en avez choisi une à part. Il faut, en effet, qu’elle convienne aux dimensions de votre garage pour être fonctionnelle et pratique. Puis, fixez-la correctement.

Pose de la toiture

Avant la mise en place de la toiture, il faut d’abord veiller à la pérennité des panneaux de bois. Pour ce faire, il faut installer un pare-pluie sur toute la surface extérieure du garage en bois. Laissez quelques centimètres de plus pour raccorder deux bandes de pare-pluies. Puis, fixez-les à l’aide de tasseaux en bois.

Il est maintenant temps de poser la voltige pour protéger à la fois votre garage et votre voiture. Fixez par-dessus la charpente la toiture. Pensez toujours à protéger le bois à l’aide de pare-pluie. Ce dernier s’installe au-dessus de la voltige. Il ne reste plus à présent qu’à poser la couverture de la toiture. Vous pouvez opter pour le type de couverture correspondant à votre style. Que ce soit la tuile ou la tôle, vous n’avez qu’à la fixer à la charpente pour protéger votre structure en bois. Vous pouvez opter pour le type de toiture que vous désirez. Cependant, le toit plat est le plus utilisé pour un garage en bois en raison de l’esthétique qu’il offre.

Mise en place des finitions

La majorité des garages à ossature en bois sont protégées par un bardage en bois. Ce dernier s’installe à l’extérieur pour protéger toute la façade. Ensuite, vous devez fixer les rails pour soutenir le bardage. Selon le modèle, vous devez appliquer une protection anti-rongeur et un vernis pour éviter que le bois ne pourrisse. Puis, il faudra isoler le garage pour améliorer le confort thermique. Enfin, procédez à l’aménagement des portes et fenêtres. Puis, habillez les murs intérieurs et extérieurs selon vos envies.

Procédez par la suite au raccordement électrique et la pose de gouttière. Maintenant, votre garage est finie.

Monter un mur en moellon : quelles sont les étapes à suivre ?

La durabilité d’un mur en moellon est indéniable. En plus, son coût au mètre carré est abordable. C’est la meilleure option pour avoir un mur solide qui ne craint pas l’usure. En revanche, ce type de mur requiert toujours un doublage isolant, et il faut réaliser des travaux impeccables pour son montage. Découvrez quelles sont les étapes à suivre pour ériger un mur en moellon.

Préparer le matériel et les moellons

Pour monter votre mur en moellon, il vous faut du matériel pour creuser dans la terre. Une pioche, une bêche ou un louchet peut faire l’affaire. Vous aurez également besoin d’un cordeau et de plusieurs piquets pour matérialiser l’emplacement du mur.

Un marteau et une massette vous seront utiles pour manier les pierres. Préparez aussi une planche de bois ou une masse pour égaliser le niveau lors de la réalisation de l’assise, et lors de l’agencement des blocs de pierre. À part le matériel, les moellons doivent être prêts avant les travaux. Procurez-vous la quantité nécessaire en fonction de la surface de votre mur.

Réaliser une assise stable

En principe, les fondations d’une maison moderne ou d’un mur de clôture sont déjà à base de béton, et supportent des charges lourdes. En ce sens, vous n’avez pas à réaliser une fondation trop profonde pour ériger votre mur en moellon. Le plus important, c’est la stabilité de l’assise.

Pour vous en assurer, creusez une tranchée d’environ 40 cm de largeur et de 30 cm de profondeur au niveau de l’emplacement prévu pour le mur. Cette assise va recevoir les premiers moellons, et son fond doit être tapissé d’une couche de cailloux, de sable et de gravillons d’environ 20 cm pour sa compacité. Stabilisez l’ensemble à l’aide d’une planche de bois ou d’une masse, afin que les rangées de moellons soient bien alignées.

Poser la première rangée de moellons

Pour poser la première rangée de moellons, commencez par installer des piquets de parts et d’autres de la tranchée, et fixez-y le cordeau. Tenez compte de la largeur de votre mur pour mettre en place ce point de repère. Ce qui est particulièrement important en cas de mur à double face.

Ensuite, mettez en place les moellons en commençant par les plus volumineux. Servez-vous d’une planche de bois ou d’une masse pour la mise à niveau du mur. Assurez bien l’agencement et l’alignement des blocs. Comblez les vides entre les blocs avec des cailloux. Les faces les plus esthétiques des moellons sont à placer sur les côtés visibles du mur.

Élever le mur

Une fois que la première rangée est placée, vous pouvez commencer l’élévation du mur ligne par ligne. Servez-vous de temps en temps de gravillons et de pierres transversales pour bien aligner et solidifier l’ensemble.

Il est possible que l’ouvrage fini possède un angle de glissement. C’est normal avec un mur en moellon, mais il faut juste que cette inclinaison vers l’arrière soit très faible. Le haut du mur doit être bien protégé pour limiter les risques d’infiltration d’eau liée à la pluie et au nettoyage de la façade en pierre. Lorsque votre mur en moellons est sorti de terre, vous pouvez le renforcer avec des travaux de maçonnerie.

Ces renforts sont particulièrement nécessaires en cas de mur de clôture en moellon. Pour ce faire, réalisez une tranchée le long de l’ouvrage. Puis, déposez une armature métallique, et coulez deux couches de béton. Réalisez ensuite un coffrage avec des planches en bois de la taille du poteau pour y couler le béton armé. Vous pouvez retirer ce coffrage au bout d’une semaine environ quand les renforts sont parfaitement séchés.

Élévation d’un mur :   ce qu’il y a à savoir?

Lors de la construction d’une maison, il existe le gros œuvre et le second œuvre. Ce premier comprend généralement les travaux de fondation, d’assainissement, de soubassement, d’élévation de murs, de charpente, de toiture et de menuiserie extérieure. Dans cet article, on va uniquement parler de l’élévation de murs. Est-il possible de réaliser cette étape soi-même ou est-ce qu’il est préférable de laisser les pros s’en charger ? Pour en savoir plus, on va découvrir tout ce qu’il faut savoir sur l’élévation d’un mur, son importance, ainsi que les étapes importantes à suivre pour que votre future maison puisse prendre forme.

Monter une cloison en béton cellulaire : suivez le guide !

En principe, la réalisation des travaux nécessaires pour la construction d’une maison idéale doit être confiée à un vrai professionnel. Cependant, vous pouvez entreprendre vous-même certaines tâches en recourant à des matériaux préfabriqués comme le béton cellulaire. À ce propos, l’utilisation ce type de matériau pour monter une cloison intérieure est une bonne alternative pour séparer les pièces de votre maison comme pour l’aménagement d’une salle de bain dans votre chambre à coucher, si toutefois vous disposez d’assez d’espace. Voici les étapes que vous devez suivre afin de réussir cette opération dans les règles de l’art.

Choisir les matériaux

La réussite d’un projet de construction repose avant tout sur le choix des matériaux. À ce propos, vous devez opter pour des bétons avec des dimensions appropriées. Notons que le béton cellulaire est un matériau préfabriqué que vous pouvez vous procurer dans un magasin spécialisé. Il est fréquemment utilisé pour des gros travaux dans le bâtiment, notamment pour la construction d’un mur porteur. Toutefois, comme il s’agit d’un matériau assez léger, vous pouvez parfaitement en user pour des travaux de second œuvre comme l’aménagement d’une cloison.

Par ailleurs, les bétons cellulaires sont proposés en plusieurs dimensions et sous différentes formes. Pour l’aménagement d’une cloison, il est préférable de vous procurer des bétons en forme de carreaux vu qu’ils sont plus faciles à utiliser. En effet, les carreaux peuvent prendre la forme d’un rectangle de 62,5 cm sur 50 cm ou de 25 cm sur 33,5 cm. Mais ils peuvent aussi avoir une forme courbée avec un angle de 30 ou de 60°, ce qui est bien approprié pour optimiser la décoration. L’épaisseur des carreaux de béton cellulaire varie de 7 à 15 cm et il faudra choisir selon le type de projet. Il vous faudra également prévoir un mortier-colle pour la fixation. Vous pouvez choisir un mortier prêt à l’emploi en forme de pâte, mais il risque de sécher si vous vous attardez trop sur une tâche. Toutefois, nous vous conseillons d’opter pour les mortiers en poudre que vous mélangerez vous-même selon vos besoins.

Préparer le chantier

Une fois que les matériaux sont complets, vous pouvez maintenant vous occuper de votre chantier. Vous devez d’abord déterminer l’emplacement de votre cloison. Si vous projetez d’installer une ouverture, il est préférable de placer les bâtis en premier. Utilisez une équerre de maçon afin d’ajuster sa position et de garantir sa verticalité. Tracez ensuite l’implantation de la future cloison et coupez les carreaux en fonction des dimensions, et ce, afin d’éviter une perte de temps lors de la pose. Préparez également l’assise de votre cloison en utilisant le mortier. Notons qu’en mélangeant le mortier-colle, vous devrez entamer la pose des carreaux. En effet, il ne vous restera que 3 heures avant qu’il sèche. De ce fait, il faut éviter d’en mélanger trop d’un seul coup, mais d’en préparer au fur et à mesure que les travaux avanceront.

Poser les carreaux

Avant de placer le premier carreau, il faudra enduire la surface avec le mortier destiné au béton cellulaire. Étalez bien avec une truelle et tracez des rayures d’épaisseurs régulières afin d’optimiser la fixation. Posez votre béton durant les trois minutes suivantes pour que le mortier ne sèche pas et vérifiez bien son horizontalité avec un niveau. Procédez de la même manière pour compléter la base de votre cloison. Avant d’entamer une rangée suivante, vous devrez encore appliquer une couche de mortier-colle et placer les carreaux en respectant le délai de séchage. N’oubliez pas qu’il faudra toujours vérifier l’horizontalité de chaque rangée avec un fil à plomb afin de garantir la solidité du mur. Notons qu’en ajustant les carreaux, une partie de votre mortier sera repoussée vers l’extérieur. Veillez à enlever l’excédent de mortier ainsi que les résidus sur le sol, car ils seront difficiles à nettoyer une fois secs. Poursuivez l’opération jusqu’à 1 ou 2 cm du plafond. Cet écart sera alors comblé avec de la mousse expansive.

La finition

Notons que le béton cellulaire ne résiste pas à l’humidité. De ce fait, il est impératif de procéder à des travaux de finition. Pour ce faire, vous pouvez recouvrir votre cloison avec un enduit approprié avant d’appliquer une couche de peinture. S’il s’agit d’une pièce avec un ruissellement d’eau permanent, il est préférable d’utiliser un revêtement étanche comme du carrelage afin de protéger votre cloison et de garantir sa durabilité.

Modifier ou abattre une cloison : les précautions à prendre

Dans le but d’obtenir une configuration beaucoup plus convenable, il importe parfois de détruire une ou des cloisons. En réalité, l’opération est assez simple à effectuer. Cependant, malgré sa simplicité, la modification ou la destruction d’une cloison peut engendrer des dégâts irréversibles. Le mieux serait de prendre ses précautions au maximum. Voyons les dispositions à prendre.

Déterminer le type de cloison

Avant de se mettre à la modification de cloison, il importe d’identifier le type de mur dont on dispose. La méthode la plus courante consiste à mesurer l’épaisseur du mur. Un mur porteur mesure généralement environ 30 cm tandis qu’une cloison mesure environ 10 cm. Lorsque l’on toque le mur, si le son est creux, il s’agit d’une cloison.

Lorsque le son est plein, il est fort possible qu’il s’agisse d’un mur porteur. De plus, s’il existe des poutres apparentes qui s’appuient sous un faux plafond, il s’agit également d’un mur porteur. Il est parfois important de recourir au plan de la maison pour identifier de façon rapide et précise le type des murs.

Vérifier la présence ou non de fils électriques

La seconde précaution à prendre avant de démolir sa cloison est la vérification de l’absence de fils électriques. Les conséquences de la démolition d’un mur abritant des conduits d’électricité peuvent être très déplaisantes. Pour le faire, il faudra se servir d’un détecteur de métaux. Le circuit des arrivées d’eau et d’électricité dans les salles voisines serviront également à la détection.

Par ailleurs, lorsqu’il s’agit de cloison en panneaux, en plâtre ou le placoplâtre, il revient à identifier les rails métalliques. Ces rails ont pour rôle de maintenir les plaques. Après identification, les rails peuvent être dévissés pour démontrer les plaques.

Renforcer le plafond et le plancher

La modification de la cloison implique des travaux de cassures qui risquent de fragiliser la structure de la pièce. Cela est une éventualité qui ne se prévoit pas forcément. Autant être prudent en renforçant les supports du plancher et du plafond. Les étais en métal réglables sont les éléments adéquats pour cette précaution. Ils permettent d’éviter l’affaissement du plafond et du plancher en renforçant leurs supports.

La pose d’étais en métal est cruciale pour la majorité des travaux de rénovation, d’aménagement intérieur, etc. Cependant, toute la surface du plafond n’est pas concernée par la technique de renforcement. Il s’agit plutôt de la surface supportant le mur à modifier.

Sécuriser la pièce et le travailleur

Avant la modification de la cloison, il importe de protéger les équipements de la pièce. La sécurité du travailleur est le facteur crucial sur lequel l’accent doit être mis.

Protéger le sol et le mobilier

Tout travail de construction, de rénovation, ou de réfection laisse une particularité commune apparente qu’est la poussière et les débris. Les débris sont propagés sur le sol du chantier qui est la chambre dans le cas de la modification de cloison. Or, certains appareils sont susceptibles de se mettre hors d’usage une fois en contact avec une quantité de poussière donnée.

Les meubles risquent également d’être salis par la poussière et les débris. D’où le fait de recouvrir les meubles et le sol fait partie des étapes à suivre pour modifier une cloison. De grandes bâches feront amplement l’affaire.

Se protéger

Pour concasser un mur, il est normal de recevoir de la poussière sur tout le corps. Pour mieux se protéger, une combinaison de travail est nécessaire. Les équipements adéquats pour se protéger sont entre autres :

  •         des lunettes de protection ;
  •         des gants ;
  •         une combinaison ;
  •         un masque de sécurité pour le visage.

La modification de la structure d’une maison est néanmoins une tâche réservée aux professionnels. Il est donc préférable de confier la mission à une entreprise spécialisée telle que SAS MKE pour un travail impeccable. Avec les experts en rénovation, les éventuels risques de dommages sont éliminés.

Est-ce qu’il est possible de faire un enrochement de talus soi-même?

L’enrochement est un aménagement de jardin qui consiste à utiliser des rochers et des blocs de pierre pour servir de décoration ou de soutien de la terre. Cette idée permet de protéger une habitation contre des glissements de terrain. Découvrez notre guide pour réaliser l’enrochement de soutènement soi-même.

L’enrochement: tout ce qu’il faut savoir

Les travaux d’enrochement sont l’ensemble de plusieurs procédés qui permettent de placer des pierres et des rochers sur une partie de votre jardin. L’utilisation de cette technique est destinée au terrain en pente. Au-delà du rôle de protection, il sert également de décoration. Ainsi, il existe deux types d’enrochement.

    • Les enrochements paysagers qui permettent de décorer le jardin avec des rocailles et des blocs de pierres.
    • Les enrochements de soutènement ou enrochements de talus consistent à maintenir la terre d’un terrain en pente pour éviter toute catastrophe comme un éboulement ou un glissement de terrain.

C’est une construction naturelle qui n’est pas si complexe que ça. C’est aussi une occasion pour construire un mur de soutènement. L’enrochement est une option pour soutenir la terre grâce à un talus. Cependant, il est nécessaire de demander des conseils à un professionnel de terrassement avant de commencer les travaux, surtout s’il s’agit de la sécurité de votre habitation.

L’enrochement de talus

En général, le principe est de maintenir la stabilité de la terre. C’est une solution moins coûteuse par rapport à l’installation d’un mur de soutènement. Par contre, l’enrochement de talus est plus complexe. Un terrain en pente présente un danger pour les travaux et pour vous-même. En règle général, on ne peut pas réaliser soi-même les travaux d’enrochement de talus à cause des contraintes liées à votre sécurité et celui de votre maison. La construction d’un mur en pierre est facile à faire qu’un enrochement. Les travaux occasionnés garantissent la stabilité du terrain et réduire à néant les risques d’accidents physiques. En effet, l’intervention d’un professionnel est plus raisonnable puisqu’il faut utiliser un matériel mécanique. L’enrochement de talus exige la connaissance de quelques techniques de pose et de maîtriser certains critères esthétiques.

Les étapes à suivre pour réaliser l’enrochement de talus

 

La préparation de l’enrochement

Il semble logique que vous aurez besoin de beaucoup de rochers pour pouvoir réaliser l’enrochement de talus. Il est primordial que les travaux se passent sur un talus stable. Vous pouvez utiliser un film géotextile pour éviter que les plantes ne s’incrustent entre les rochers de talus.

La mise en place de la première rangée de pierres

Avant de commencer la pose des premiers rochers, il faut remplir le sabot de gravier et de pierres. Cela permet d’aligner la première rangée sur le sabot. Il est nécessaire que cette dernière soit bien ancrée dans le sol. On vous conseille d’utiliser des pierres à face plate, pour qu’ils se placent facilement les unes au-dessus des autres. Une fois terminé, comblez les trous avec des petites pierres pour caler les rochers.

L’enrochement proprement dit

    • Classifiez les pierres pour qu’ils soient toutes plates afin de les mettre par-dessus. Il est nécessaire d’utiliser des pierres qui possèdent une forme avec un emboîtement naturel côte à côte. Il est primordial qu’il n’y a aucun écartement entre les deux pierres.
    • Soyez sûr de votre action avant de poser un rocher à l’aide d’une pelle mécanique. Limitez au maximum les déplacements de pierres pour ne pas déstabiliser celles en dessous.
    • Ne passez pas à une nouvelle rangée avant d’être sûr que la première soit stable
    • Entre les rangées de pierres, croisez les joints pour maintenir la solidité de l’enrochement.
Faire construire une maison ossature bois : Quels sont les détails à surveiller ?

Les maisons en bois ont le vent en poupe depuis plusieurs années. Plus économique qu’une construction traditionnelle, esthétique et écologique, la maison en bois constitue une bonne alternative. Voici les détails à surveiller dans la construction d’une maison ossature bois !

Maison en bois : de quoi s’agit-il réellement ?

Le plus souvent, parler de maison en bois revient à parler en fait d’une maison à ossature bois (MOB). Sa technique de construction est très simple : elle consiste à clouer des pièces de bois entre elles pour former une ossature.

Cette ossature, dont les plans ont été dessinés au préalable par le futur propriétaire selon la maison souhaitée, comprend :

  •         les murs,
  •         les sols,
  •         les plafonds de la maison.

Cette structure en bois est soit composée de panneaux complets, soit de panneaux dits manu-transportables.

Les premiers panneaux, d’une hauteur d’un étage, sont construits entièrement en usine puis transportés par camion jusqu’au chantier de la maison où ils sont assemblés. Les panneaux de l’ossature en bois sont constitués de pièces verticales, appelées « montants » associés à des pièces horizontales hautes, basses et médianes appelées « traverses » et « entretoises ».

Ces pièces en bois sont espacées de 40 à 60 cm afin de recevoir les matériaux isolants thermiques et phoniques. Autre chose, les maisons en bois se construisent étage par étage.

Enfin, l’extérieur d’une maison en bois peut recevoir des types d’ornement très différents, du bardage bois à la brique, en passant par la pierre ou encore le béton. Les points à retenir et à surveiller dans la suite !

Les points à surveiller

Les règles de construction relatives à l’ossature bois relèvent du DTU 31.2 dont la lecture et le respect des dispositions sont fortement recommandés.

La construction des parois verticales

Pour la fabrication des parois verticales, le principe en vigueur est celui du voile travaillant. En clair, alors qu’un bâtiment maçonné est conçu pour ne pas bouger d’un millimètre quoiqu’il arrive, l’ossature bois, plus souple, accompagne les sollicitations en situations normales et exceptionnelles (tempêtes, mouvements du sol…).

L’étanchéité à l’eau

Encore une étape à suivre ! L’étanchéité à l’eau prend plusieurs formes, sachant que la préservation des bois vis-à-vis de l’humidité est leur meilleure garantie de durabilité. Il s’agit donc de protéger la maison de la pluie et de la neige d’une part, des remontées capillaires d’autre part.

Il faut aussi veiller à ne pas ignorer l’humidité due à l‘utilisation des locaux, spécialement la cuisine et la salle de bains. À ce sujet, au-delà des exigences réglementaires, il peut être profitable de conserver l’accès à tous les réseaux en évitant de les encastrer.

En cas de construction dans un site exposé

Si la construction est prévue dans un site exposé au vent, au bruit environnant, des vérifications sont à faire pour la préservation du confort acoustique. En effet, ce dernier n’est pas assuré par la structure légère des façades.

L’inertie thermique

L’inertie thermique d’une maison ossature bois même en cas d’extension de maison est généralement très faible. Elle se réchauffe vite : un atout précieux lorsque la maison est inoccupée dans la journée en hiver. Mais cela constitue un inconvénient pour l’été, si la prise en compte des apports solaires a été mal faite. Un complément d’inertie peut être apporté par l’utilisation de matériaux lourds dans les planchers et dans les dalles.

Bon à savoir : le contreventement

Ce terme désigne les dispositions prises pour permettre au bâtiment de supporter les sollicitations horizontales. En d’autres termes, il s’agit des dispositions prises pour résister aux rafales de vent qui créent une surpression du côté exposé et une dépression du côté opposé.

Une structure lourde maçonnée y est peu sensible, mais la légèreté de l’ossature bois l’expose tout particulièrement. Cependant, différentes techniques permettent de résoudre ce problème, selon la nature de la paroi (murs ou toiture par exemple). Ne pas hésiter à contacter SAS F.T.S BOIS pour toutes préoccupations relatives aux maisons ossature bois.

Charpente en béton préfabriquée : utilisation, avantages et prix

En architecture, la charpente soutient les ouvrages. Les éléments en bois, en métal ou en béton sont rassemblés pour donner une charpente. C’est donc le pilier d’une construction. La charpente en béton est la plus utilisée pour des constructions durables, solides et résistants.

De nos jours, les maisons sont pour la plupart dotées de charpente en béton, que celle en bois ou en métal. Nous remarquons quand même une différence : la charpente en béton n’est utilisée que sur les maisons disposant d’une toiture à faible pente. Par contre, la charpente en béton préfabriquée est adaptée à tous les types de toits. De plus, elle est efficace pour protéger la maison d’éventuels sinistres. Dans cet article, nous parlerons justement de son utilisation et de ses avantages.

Comment l’utilise-t-on ?

Notons qu’il s’agit ici de la charpente en béton précontraint ou préfabriqué. La charpente en béton préfabriquée est conçue en usine. Elle est constituée de poutrelles et de hourdis en béton, en bois ou en polystyrène. Concernant sa structure, les hourdis se placent entre les poutrelles afin d’assurer une bonne stabilité à la charpente. Le ferraillage sera ensuite enrobé afin d’obtenir une dalle. Ses composants sont donc des éléments à la fois résistants et de très haute qualité, ce qui est idéale pour les grandes édifices, mais aussi pour les toitures de terrasses. Néanmoins, sa construction exige un minimum de compétences en la matière. Pour cela, vous pouvez faire appel à l’équipe de maçons de Multi services – Dijon.

Pourquoi choisir le béton préfabriqué ?

Le bois et le métal ne font pas le poids comparé au béton ! Si la charpente en béton est plus utilisée pour diverses constructions, c’est qu’il y a une bonne raison : ses avantages sont incontestables. Comme il a été dit, le béton préfabriqué est solide et durable. De plus, il résiste au feu, à l’humidité, aux fissures et aux coups. Il est aussi très économique, car vous n’êtes pas obligé de l’entretenir fréquemment, grâce à ses compositions précontraintes. En plus de vous faire économiser de l’argent, elle vous fait aussi gagner du temps ! Que demander de plus ?

En construction, le béton est plus facile et rapide à installer. Vous pouvez néanmoins faire confiance à des charpentiers pour une pose avec précision. En outre, le béton est recyclable. Et, saviez-vous qu’il est aussi écologique ? Laissez-nous alors vous affirmer qu’il aspire naturellement le dioxyde de carbone. Ce phénomène s’appelle « la carbonatation du béton ».

Qu’en est-il de son prix ?

Il est tout à fait conseillé par les charpentiers et les architectes d’utiliser la charpente en béton pour des constructions durables. Effectivement, son prix est très économique si l’on se réfère à sa durabilité et à sa résistance. Les prix peuvent aussi varier selon le type de béton de votre choix. Son prix est de 80 à 100 euros par mètre cube, pose non incluse. Alors, à part le coût du béton, il faudra aussi mettre un budget pour la main-d’œuvre. Abordable et à la fois économe, votre budget peut être réduit jusqu’à 30 %. La pose variera de 40 à 70 euros par mètre carré en fonction du constructeur que vous choisirez. Le coût des poutrelles et des hourdis n’est pas aussi inclus. Il faudra compter entre 40 et 45 euros par mètre carré pour ces derniers. Évidemment, ces prix ne comprennent pas encore les divers équipements en cas de nécessité.

Les fenêtres et portes en PVC Oknoplast : coût , installation et atouts

Lorsqu’on prévoit d’installer une fenêtre ou une porte, il est important de s’assurer qu’elles soient robustes, résistantes, solides, durables mais aussi esthétiquement agréables à regarder. Parmi les principaux fabricants de menuiseries, Oknoplast se démarque des autres grâce à son savoir-faire et sa créativité. Concrètement, que valent réellement les fenêtres et les portes fabriquées par ce fournisseur ? Voici une revue de détail sur le coût, l’installation et les atouts des menuiseries de marque Oknoplast.

Prix des portes et des fenêtres Oknoplast

Oknoplast fabrique toute une gamme de portes et de fenêtres. Leurs prix varient de leurs spécificités et de leurs caractéristiques. Pour vous donner une idée :

  • Une porte d’entrée coûte dans les 500 euros et plus pour les modèles haut de gamme

  • Une fenêtre, quant à elle, coûte entre 300 et 1000 euros

Installation

L’installation d’une porte ou d’une fenêtre Oknoplast est réalisée par des professionnels, car elle requiert une grande précision, une habileté manuelle ainsi que l’utilisation d’outils spécifiques. Vous souhaitez installer une porte ou une fenêtre Oknoplast ? Contactez SJH MENUISERIE, un installateur agréé QUALIBAT RGE. Cette société est un représentant officiel des marques Oknoplast et K. Line, entre autres. Elle fabrique et vend une gamme étendue de portes en aluminium, en PVC et en bois.

Pose d’une porte Oknoplast

D’une manière générale, voici les étapes de la pose d’une porte fabriquée par ce célèbre fabricant polonais :

  • Échange avec les clients pour déterminer le type de porte à installer

  • Pose et fixation du dormant

  • Montage de la porte

Pose d’une fenêtre Oknoplast

La pose d’une fenêtre, quant à elle, passe par ces quelques étapes :

  • Vérification des métrés

  • Pose des nouveaux dormants

  • Inspection des aplombs

  • Fixation des nouveaux battants

  • Vérifications sécuritaires

Atouts des portes et des fenêtres Oknoplast

Fort de plus de 20 ans d’expérience dans la fabrication de menuiseries, Oknoplast figure parmi les plus grands concepteurs de portes et de fenêtres. D’année en année, cette marque ne cesse d’évoluer pour satisfaire la demande grandissante de ses clients. Nous allons détailler ci-dessous les principaux atouts des produits proposés par cette marque, en fonction de leurs gammes respectives.

Les portes

Oknoplast met en vente une gamme complète de portes qui concilient sécurité et confort d’utilisation.

Les portes renforcées en PVC

Les portes d’entrée renforcées Oknoplast incarnent la robustesse à l’état pur. Existant dans de nombreuses couleurs, elles se déclinent en plusieurs styles et finitions. Pouvant être installées aussi bien sur les maisons de styles contemporaines que classiques, elles confèrent un haut niveau de sécurité. Par ailleurs, sachez que les portes renforcées Oknoplast possèdent des propriétés isolantes phoniques assez élevées, ce qui en font des installations de choix si vous habitez dans un quartier bruyant.

Les portes SECURITY

Cette deuxième gamme de portes d’entrée améliorera grandement le niveau de sécurité de votre habitation. Renforcées par un profil en acier galvanisé tubulaire et divers options en compléments (rosace en anneau anti-perçage, verre de sécurité, ferme porte avec bras d’arrêt, etc.), ces portes sont disponibles en plusieurs coloris.

Les fenêtres

Les fenêtres Oknoplast présentent la même qualité que les portes du fabricant.

Les fenêtres PIXEL

Les fenêtres PIXEL sont en PVC. Leur premier atout est que ce sont de véritables puits de lumières. Pouvant être équipés d’un double ou d’un triple vitrage, ces produits peuvent être dotés d’un mécanisme anti-fausse manœuvre, d’une micro-ventilation et d’un rehausseur de vantail.

Les fenêtres PVC Charme Mini

Cette gamme dispose d’un battement central réduit ainsi que de plusieurs équipements destinés à renforcer la sécurité d’une maison tels qu’un vitrage retardateur d’effraction et plusieurs points multiples de fermeture à galets.

Les fenêtres Koncept

Élégants, les fenêtres Koncept se marient avec tous types de maisons. En PVC, elles subliment l’intérieur d’une pièce avec sa finition solide et son design recherché.

Les fenêtres Koncept 2.0

Les fenêtres Koncept 2.0 sont les grandes sœurs des fenêtres Koncept. La version standard comporte déjà de nombreuses options comme l’oscillo-battant renforcé en acier. Les vitrages de ces ouvertures sont dotés de 6 chambres d’isolation, ce qui garantit une excellente isolation sonore et thermique.