En quoi consiste le curage d’étangs

Une solution adéquate pour permettre à votre niveau d’eau d’être correct, le curage d’étang vous permettra aussi de préserver au maximum le bon fonctionnement de votre étang. Cependant, nombreux sont encore les gens qui se demandent en quoi consiste ce procédé ? Une question à laquelle cet article apportera quelques éléments de réponse.

Le curage d’étangs : qu’est-ce que c’est ?

Le curage d’étangs est une opération délicate qui consiste à extraire et à exporter les matières accumulées dans l’eau. Cela dans le but de limiter les détournements de flux et de préserver l’équilibre naturel dans l’étang. En général, il est appliqué à la suite d’excès de matière organique et de vase, l’un des principaux problèmes rencontrés dans les étangs.

Pour que le curage soit bien fait, il faut extraire tous les organismes vivants dans l’étang tels que les poissons Et il faut savoir que le curage ne peut s’effectuer que quand la quantité de vase est plus importante que la quantité de l’eau. De ce fait, pour ne pas bousculer l’écosystème de votre étang, l’intervention d’un professionnel qualifié est un choix très judicieux.

Le curage d’étangs : quelles sont les différentes techniques pour ce procédé ?

Différentes techniques peuvent être appliquées dans ce procédé : naturelle et mécanique. Elles ont chacune leurs avantages, mais on ne peut pas non plus écarter leurs inconvénients. Ces techniques sont :

– le curage d’étang naturel mécanique (curage hydraulique) :

Comme son nom l’indique, cette solution consiste à curer l’étang à l’aide d’engins mécaniques (la pelle amphibie par exemple) situés sur la berge. D’une efficacité irréfragable, elle permet d’accéder directement au cœur du plan d’eau. Cette technique est appliquée, en général, durant les périodes hivernales quand la végétation aquatique est la moins présente. Son seul inconvénient réside dans le coût, qui pourra être très onéreux.

Note : Cette technique est déconseillée pour les sédiments fins. Cela, pour éviter un quelconque risque de pollution dû à la dispersion de ces derniers.

– le curage d’étang à sec :

Il consiste à vider simplement l’étang, donc à déplacer ses faunes et flores. A sec, l’étang sera plus facile d’accès à toutes sortes d’engins, un avantage de cette technique. Après toute intervention, l’écosystème dans l’étang sera remis en place.

– la bio-augmentation :

C’est un procédé biologique qui consiste à utiliser un traitement naturel composé de bactéries bénéfiques naturelles. Ces bactéries vont se répandre dans le milieu aquatique et vont participer à abaisser, voire à dégrader le niveau de vase et les déchets situés au fond de l’étang. L’une des techniques les plus utilisées du moment, elle a l’avantage d’être moins coûteuse vis-à-vis des autres techniques. De plus, cette technique permettra de préserver l’écosystème naturel de l’étang, car elle évite le curage proprement dit.

Note : pour une meilleure expérience, il est fortement recommandé d’utiliser un aérateur qui va agir en symbiose avec les bactéries. En effet, suffisamment oxygénées, les bactéries colonisent facilement l’étang et digèrent efficacement pour une saison, voire des années suivant le niveau de vase.

– le curage doux (la technique la moins utilisée) :

Il consiste à utiliser une épuisette pour récupérer les sédiments qui se sont déposés au fond de l’étang. C’est une opération très difficile à exécuter, car elle nécessite non seulement un long moment de travaux, mais elle est aussi épuisante en dépit de la taille de la vase à laquelle on fait face.

Le curage d’étang : quelles solutions choisir ?

Vis-à-vis des nombreuses solutions proposées ci-dessus pour effectuer le curage de votre étang, il convient tout de même de trouver la solution appropriée en fonction de votre étang.

Faire appel à des équipes spécialistes sera donc nécessaire pour effectuer une étude et proposer le procédé le mieux adapté suivant le besoin de votre étang, vos envies et votre budget.

Une solution adéquate pour permettre à votre niveau d’eau d’être correct, le curage d’étang vous permettra aussi de préserver au maximum le bon fonctionnement de votre étang. Cependant, nombreux sont encore les gens qui se demandent en quoi consiste ce procédé ? Une question à laquelle cet article apportera quelques éléments de réponse.

Le curage d’étangs : qu’est-ce que c’est ?
Le curage d’étangs est une opération délicate qui consiste à extraire et à exporter les matières accumulées dans l’eau. Cela dans le but de limiter les détournements de flux et de préserver l’équilibre naturel dans l’étang. En général, il est appliqué à la suite d’excès de matière organique et de vase, l’un des principaux problèmes rencontrés dans les étangs.
Pour que le curage soit bien fait, il faut extraire tous les organismes vivants dans l’étang tels que les poissons Et il faut savoir que le curage ne peut s’effectuer que quand la quantité de vase est plus importante que la quantité de l’eau. De ce fait, pour ne pas bousculer l’écosystème de votre étang, l’intervention d’un professionnel qualifié est un choix très judicieux.

Le curage d’étangs : quelles sont les différentes techniques pour ce procédé ?
Différentes techniques peuvent être appliquées dans ce procédé : naturelle et mécanique. Elles ont chacune leurs avantages, mais on ne peut pas non plus écarter leurs inconvénients. Ces techniques sont :
– le curage d’étang naturel mécanique (curage hydraulique) : comme son nom l’indique, cette solution consiste à curer l’étang à l’aide d’engins mécaniques (la pelle amphibie par exemple) situés sur la berge. D’une efficacité irréfragable, elle permet d’accéder directement au cœur du plan d’eau. Cette technique est appliquée, en général, durant les périodes hivernales quand la végétation aquatique est la moins présente. Son seul inconvénient réside dans le coût, qui pourra être très onéreux.
Note : Cette technique est déconseillée pour les sédiments fins. Cela, pour éviter un quelconque risque de pollution dû à la dispersion de ces derniers.
– le curage d’étang à sec : il consiste à vider simplement l’étang, donc à déplacer ses faunes et flores. A sec, l’étang sera plus facile d’accès à toutes sortes d’engins, un avantage de cette technique. Après toute intervention, l’écosystème dans l’étang sera remis en place.
– la bio-augmentation : c’est un procédé biologique qui consiste à utiliser un traitement naturel composé de bactéries bénéfiques naturelles. Ces bactéries vont se répandre dans le milieu aquatique et vont participer à abaisser, voire même à dégrader le niveau de vase et les déchets situés au fond de l’étang. L’une des techniques les plus utilisées du moment, elle a l’avantage d’être moins coûteuse vis-à-vis des autres techniques. De plus, cette technique permettra de préserver l’écosystème naturel de l’étang, car elle évite le curage proprement dit.
Note : pour une meilleure expérience, il est fortement recommandé d’utiliser un aérateur qui va agir en symbiose avec les bactéries. En effet, suffisamment oxygénées, les bactéries colonisent facilement l’étang et digèrent efficacement pour une saison, voire même des années suivant le niveau de vase.
– le curage doux (la technique la moins utilisée) : il consiste à utiliser une épuisette pour récupérer les sédiments qui se sont déposés au fond de l’étang. C’est une opération très difficile à exécuter, car elle nécessite non seulement un long moment de travaux, maiselle est aussi épuisante en dépit de la taille de la vase à laquelle on fait face.

Le curage d’étang : quelles solutions choisir ?
Vis-à-vis des nombreuses solutions proposées ci-dessus pour effectuer le curage de votre étang, il convient tout de même de trouver la solution appropriée en fonction de votre étang.
Faire appel à des équipes spécialistes sera donc nécessaire pour effectuer une étude et proposer le procédé le mieux adapté suivant le besoin de votre étang, vos envies et votre budget.

Etanchéification des canalisations : pourquoi, quand et comment ?

Que ce soit pour l’acheminement de l’eau dans le domicile ou pour l’évacuation des eaux usées, il est primordial d’avoir des canalisations fonctionnelles et en bon état dans une habitation. Un problème d’étanchéité au niveau des canalisations peut suffire à causer d’énormes dégâts dans la propriété. Dans ce cadre, il est nécessaire de faire des tests dès l’apparition de signes suspects et de prendre les mesures qui s’imposent.

L’importance des tests d’étanchéité 

Qu’il s’agisse de canalisations récentes ou anciennes, les tests d’étanchéité constituent une démarche de prévention nécessaire. Ils ont pour but de quantifier et de localiser les fuites d’un produit, d’un réservoir, d’un conduit et autres. En effet, les conséquences peuvent être aussi désagréables que néfastes lorsqu’il existe des fuites au niveau des réseaux notamment lorsque ceux-ci sont destinés à l’acheminement des eaux-vannes provenant des toilettes. Les remontées d’odeurs sont fréquentes et sont gênantes. En outre, les canalisations bouchées risquent d’imploser sous la pression et de se fissurer ou de se briser. Si l’étanchéité des canalisations n’est pas examinée fréquemment, l’eau infiltrée peut entraîner la dégradation des structures et l’écroulement des sols. Pour prévenir les problèmes qui pourraient apparaître, il est indispensable de s’assurer qu’elles résistent bien à la pression, aux agressions chimiques et physiques et à l’usure afin de garantir qu’elles resteront étanches.

Quand vérifier l’étanchéité des canalisations ?

Pas besoin de patienter jusqu’aux rendez-vous réguliers prévus dans le contrat d’entretien pour procéder à des tests d’étanchéité. La vérification des canalisations est impérative dès la détection de remontées d’odeurs suspectes ou d’un dépôt liquide à certains endroits.

Il existe généralement trois méthodes pour tester l’étanchéité des réseaux. Pour les petites et moyennes canalisations, il s’agit d’y envoyer de l’eau à haute pression qui révèlera les éventuelles fissures. La seconde technique consiste à injecter un grand volume d’air dans un tronçon de petits ou gros réseaux (d’eaux pluviales, d’eaux usées domestiques et de rejets industriels). En cas de fissure, de fuite ou de trou dans les canalisations, la pression de l’air pressurisé envoyé va diminuer en intensité. Le générateur de fumée assainissement est également utilisé pour déceler les défaillances dans les réseaux. Ce procédé permet d’avoir accès à des tronçons généralement hors de portée. L’épaisse fumée blanche injectée va indiquer les zones endommagées et les raccordements non conformes.

Les différentes méthodes pour réparer les canalisations

Avant de procéder aux réparations nécessaires des canalisations non étanches, il convient d’avoir recours à l’inspection vidéo pour contrôler l’état général de la tuyauterie. Cette technique permettant de faire un diagnostic précis, est le meilleur moyen d’avoir un point de vue direct de l’intérieur des réseaux à l’aide d’une caméra étanche. Cet outil fixé à l’embout d’un tube est glissé dans le conduit. Il permet de détecter facilement les déchets accumulés sur les parois ainsi que les fuites ou les trous. En revanche, les plus petits d’entre eux sont plus difficiles à repérer. Avec l’inspection télévisée, il est aussi envisageable d’injecter de l’eau à haute pression directement sur les parois à partir de buses attachées au même tube. Cette technique est beaucoup plus efficace que les systèmes d’hydrocurage classiques. En effet, elle permet une injection localisée de l’eau pour détacher directement des parois les divers résidus.

Sinon, il existe d’autres méthodes pour remettre en état les canalisations non étanches ou trouées. Tout d’abord, il est important de procéder au débouchage des canalisations. Pour un travail fiable, faire appel à un professionnel comme l’entreprise JEAN GESSET ET FILS à Vierzon dans le Cher est recommandé.

Une fois les fuites détectées, on peut procéder au chemisage qui consiste à injecter de la résine d’époxy dans la canalisation et de durcisseur qui permet de rendre la tuyauterie étanche à nouveau. Autre méthode pour réparer une fuite de canalisation : la pâte à boucher à appliquer sur la fissure. Pour les problèmes de canalisation mineurs, il suffit d’avoir recours à la soudure à froid ou aux produits antifuite comme le mastic pour colmater les trous.

Ce qu’il faut savoir sur l’installation sanitaire

Tout ce qui touche la santé et l’hygiène est regroupé dans ce que l’on nomme « le sanitaire ». Plus précisément, il s’agit de la salle de bain et des toilettes. Pour la plupart des maisons, ces deux pièces sont fusionnées. Par ailleurs, il faut également considérer les douches, la buanderie, et la cuisine. Le système de branchement sanitaire consiste à distribuer l’eau et/ou le gaz dans votre maison. Son installation ne s’improvise pas, d’où la nécessité de faire appel à un expert plombier. Ce dernier est aussi habileté à effectuer d’autres travaux tels que le raccordement des appareils sanitaires comme la machine à laver, l’installation de votre baignoire, etc.


Ce qu’il faut retenir avant de procéder


Il est important de connaître certains éléments avant de passer à un branchement sanitaire. Tout d’abord, il faut savoir qu’il existe plusieurs types de conduites : la conduite principale (22mm de diamètre), et les conduites de 12mm qui partent d’autres conduites jusqu’au robinet. Ensuite, il faut penser aux matériaux constitutifs des conduites. Pour les conduites à gaz, il est beaucoup mieux de choisir celles en cuivre. Pour le confort d’usage de chaque élément sanitaire, certaines mesures sont à respecter consciencieusement.


Le principe d’un champ d’épuration


Il est défini comme étant un dispositif élaboré permettant l’élimination des contaminants et des impuretés présentes dans les eaux usées présentes dans les fosses septiques. Cet appareil est composé, généralement, de tuyaux perforés enterrés dans des tranchées. Leur but principal est le prétraitement des eaux provenant des installations sanitaires avant leur dissémination dans les nappes phréatiques ou les remblais.

Les dimensions à respecter

Pour que le champ d’épuration ne sature pas trop vite, il faut la grandeur proportionnelle aux nombres des occupants de la maison. Pour une maison qui comporte 3 chambres à coucher alors, il faut 750 gallons, pour 4 chambres : 1 050 gallons et pour 5 chambres c’est 1500 gallons.

Zoom sur les canalisations

La plomberie c’est le domaine qui représente tout ce qui se rapporte à tout type de tuyautage. L’installation d’une canalisation pour votre habitation s’avère facile, notamment avec l’aide d’un professionnel dans le domaine. Il faut savoir que la mise en place des canalisations requiert la réalisation de raccordements qui ont chacun leurs particularités. En ce qui concerne les systèmes de filtration, la mise en place de canalisation nécessite de nombreux raccordements entre la tuyauterie des différentes pièces à sceller et les canalisations principales, qui ont pour rôle d’acheminer l’eau entre le filtre et le bassin par exemple.

Qu’est-ce que le raccord de plomberie ?

Sachez qu’il ne peut y avoir d’installation sans le raccord de plomberie. Bien entendu, chaque tuyau dispose son raccord, mais certains sont mixtes et peuvent s’adapter à différents types de tuyau. Un raccord de plomberie peut être effectué avec ou sans soudure. Dans tous les cas, l’installation doit être accomplie dans les règles de l’art pour une étanchéité parfaite. Parmi les différents matériaux utilisés dans les canalisations, on rencontre le raccord en laiton, le raccord en cuivre, le raccord en PVC, et bien d’autres.

En cas de problème d’évacuation ?

En plomberie et notamment en réparation, le bouchage de la canalisation est le problème le plus souvent rencontré. Dans la plupart des cas, les bouchons résultent de l’amoncellement de matières organiques ou de petits objets qui se mélangent avec du gras… Pour les éviers, la première solution et la plus simple consiste à dévisser le tuyau situé sous l’évier pour retirer les déchets amassés. Si le problème persiste, il faudra alors adopter une autre option plus performante. En effet, essayer de régler soi-même l’éventuel problème peut tourner à la catastrophe, dans ce cas il est toujours indispensable de faire appel à une personne qualifiée.