Comment se débarrasser d’un nid de frelons ?

Asiatiques ou européens, les frelons font partie des insectes nuisibles de la nature. À ce titre, ils détruisent tous et attaquent les endroits calmes afin d’y construire leur nid.De plus, ils nuisent à la beauté humaine en piquant sur les parties sensibles. Mais comment les éloigner de la vie quotidienne ? La réponse dans cet article !

Comment différencier les frelons asiatiques des frelons européens ?

– Les frelons asiatiques et leurs nids

Appelés aussi frelons à pattes jaunes, vespa veloutée, ou encore vespa velutina, les frelons asiatiques sont des espèces d’insectes hyménoptères d’origine asiatique. Ils se repartissent dans les vastes aires, dans des zones continentales ou tropicales comme l’Inde, l’Afghanistan, la Chine, etc.

Les frelons asiatiques sont colonisés par une reine ou une fondatrice qui mesure jusqu’à 3 cm de long. Son espérance de vie est d’environ un an. Chaque printemps, à partir du mois de mars jusqu’au mois d’août, la reine des frelons asiatiques fonde son propre essaim, qui est constitué par des ouvriers (chaque ouvrier mesure 1,5 à 3 cm de long). Les vespa velutina ou frelons asiatiques sont reconnaissables à leurs pattes jaunes et à leur thorax noirs. Leurs ailes sont sombres et leur abdomen sont marqués d’un triangle noir et cerné d’un anneau jaune orangé.

Les ouvriers de frelons asiatiques construisent leur nid ou guêpier à l’aide de fibres de cellulose mâchée. Il est en forme de sphère qui peut atteindre jusqu’à 80 cm de diamètre et un mètre de hauteur. Il est situé dans les endroits calmes et à l’abri du soleil (sous la toiture, sur les branches d’arbre, dans des milieux urbains…) et s’ouvre toujours sur le côté. Un guêpier constitue en moyenne 700 à 800 frelons, mais cela peut atteindre jusqu’à 2000 frelons. Ils se multiplient à partir de mi-juin et commencent à ravager. Le nid reste vide durant la saison d’hiver, car les frelons se cachent dans des endroits chauds.

– Les frelons européens et leurs nids

Vespa crabro, cul jaune, beurgot ou frelons européens, ce sont des espèces d’hyménoptères eusociaux qui disposent d’une plus grande guêpe parmi les espèces de frelons européens. Vespa crabro est plus grand et plus coloré. Ils se différencient des frelons européens par une rayure jaune et noir sur l’abdomen. Leur tête, leur thorax ainsi que leur antenne sont teintés en roux. La longueur de la reine peut atteindre jusqu’à 3,5 cm. Pour les ouvriers, ils font 1,8 à 2,5 cm de long. Quant aux mâles, ils mesurent 2,1 à 2,8 cm. Leur nid, moins volumineux que celui des frelons asiatiques, s’ouvre toujours vers le bas, et se trouve sous un abri ou dans un tronc creux. Mais on ne les trouve jamais en haut des grands arbres.

Les frelons européens sont insectivores.  Leur couvain doit consommer environ 500 grammes d’insectes par jour (libellules, mouches, abeilles, araignées, chenilles, etc.). Seules les jeunes femelles mangent des écorces ainsi que des vieux cotons. La fabrication de leur nid se fait par les ouvriers, en collectant des fibres végétales.

Une piqûre de frelon peut entraîner des complications médicales, surtout chez les patients allergiques au venin d’hyménoptère. Dans le cas où la piqûre atteindrait la gorge, elle provoquera un choc respiratoire sévère, car la gorge gonfle et l’air ne passe plus.

Comment détruire les différents nids de frelons ?

La destruction des nids de frelons doit se faire avant le 15 juillet de l’année N, avant qu’ils ne se délocalisent et que les futures fondatrices naissent et deviennent plus efficaces. Cette opération relève des professionnels dans le domaine d’entretien et nettoyage toiture.

Il reste encore d’autres méthodes pour se débarrasser du nid des frelons comme :

– l’abat-guêpe,

– la pulvérisation de l’anhydride de soufre,

– la protection des ruches des abeilles contre la pénétration des frelons,

– l’élevage de poules, qui sont des prédateurs occasionnels des frelons à pattes jaunes,

– la plantation de plantes carnivores comme la Sarracenia oreophila qui peuvent éliminer immédiatement les frelons asiatiques.

Les différentes solutions pour sécuriser une porte de garage

En matière de sécurité de la maison, la porte de garage est souvent le maillon faible. En général, le mode opératoire des cambrioleurs consiste à débloquer cette fermeture, considérée comme plus fragile par rapport à la porte d’entrée blindée, pour s’introduire facilement dans un logement. La prudence est donc de mise ! Pensez à sécuriser correctement la porte de votre garage. Voici nos conseils avisés à ce sujet.

L’installation d’une porte de garage robuste et équipée d’une serrurerie fiable

Pour renforcer la sécurité de votre porte de garage, la première étape consiste à examiner attentivement la menuiserie afin de voir ses faiblesses. En fonction des problèmes rencontrés, il est facile de trouver les solutions adéquates.

Si votre porte de garage est particulièrement vétuste, il est judicieux de la remplacer rapidement. En effet, la fragilité de la menuiserie constitue une véritable menace pour la sécurité de votre logement. Les cambrioleurs peuvent facilement fracasser la porte et entrer chez vous ! Lors du remplacement de la menuiserie, privilégiez toujours les modèles en acier. En effet, les portes de garage métalliques sont particulièrement robustes face aux tentatives d’effraction. De nos jours, certains modèles en bois, en alu et en PVC disposent également d’une bonne solidité et sont équipés d’une cornière anti -effraction. Les malfaiteurs auront du mal à détériorer la menuiserie lors de l’accomplissement de leurs actes.

Pour renforcer davantage la sécurité de votre porte de garage, l’ajout d’une serrure fiable est également une solution judicieuse. Sur le marché, il existe des verrous particulièrement difficiles à crocheter ou à détériorer.

Pour la réalisation de tous travaux visant à sécuriser votre logement, contactez Bribanick Serrurerie & Vitrerie établi à Taulé dans le Finistère. Cette entreprise est spécialisée dans l’installation de portes de garage sectionnelles, basculantes, battantes, coulissantes et d’autres modèles. Les installeurs effectuent minutieusement la pose de la menuiserie pour garantir sa longévité et sa robustesse. Ils s’occupent également de l’installation du verrou au niveau de la porte de garage. En fonction de la configuration de la menuiserie et de votre budget, les techniciens peuvent vous conseiller sur la serrurerie adéquate à poser : verrou manuel, serrure en applique, cadenas au sol…

La pose d’une barre de sécurité au niveau de la porte de garage

Afin de renforcer la protection de la porte de garage contre les effractions, la pose d’une barre de sécurité fait partie des solutions à envisager. Cette pièce métallique permet de solidariser les ouvrants de la menuiserie, qu’il s’agisse d’un modèle coulissant, battant, pliant, basculant ou en accordéon. Résultat : il est quasiment impossible d’ouvrir la porte de garage depuis l’extérieur. La maison bénéficie donc d’un haut niveau de sécurité en cas de tentative de cambriolage.

Il faut souligner que la barre de sécurité en acier est relativement bon marché. Dans le commerce, cet équipement coûte aux alentours de 80 à 85 €. Il est également possible de commander un modèle sur mesure auprès d’un serrurier-métallier.

L’installation de dispositifs de sécurité innovants

Sur le marché, il existe d’innombrables appareils destinés à renforcer davantage la sécurité de la maison : alarme, détecteur de mouvement, caméra de surveillance… L’utilisation de ces dispositifs est synonyme de tranquillité d’esprit. Par exemple, grâce à une caméra de surveillance connectée à votre smartphone ou à votre ordinateur portable, vous pourrez voir en temps réel les activités autour de votre garage. En cas de fait suspect, il est possible de contacter les forces de l’ordre pour intervenir rapidement sur les lieux. L’installation d’un détecteur de mouvement ou d’une alarme aux abords de la porte de garage est aussi un gage de sécurité optimale. Il faut souligner que les dispositifs de sécurité jouent également un rôle dissuasif. D’après les études, les malfaiteurs cambriolent rarement les maisons équipées de caméras de surveillance, de dispositifs d’alarme ou de détecteurs de mouvement de peur d’être arrêtés par les forces de l’ordre.

Élévation d’un mur :   ce qu’il y a à savoir?

Lors de la construction d’une maison, il existe le gros œuvre et le second œuvre. Ce premier comprend généralement les travaux de fondation, d’assainissement, de soubassement, d’élévation de murs, de charpente, de toiture et de menuiserie extérieure. Dans cet article, on va uniquement parler de l’élévation de murs. Est-il possible de réaliser cette étape soi-même ou est-ce qu’il est préférable de laisser les pros s’en charger ? Pour en savoir plus, on va découvrir tout ce qu’il faut savoir sur l’élévation d’un mur, son importance, ainsi que les étapes importantes à suivre pour que votre future maison puisse prendre forme.

Quelle est la meilleure solution pour enduire un mur en parpaing ?

Il faut l’avouer, un mur en parpaing n’est pas esthétique à l’état brut. Pour l’enjoliver, il convient de le recouvrir d’une couche d’enduit ou de peinture. Les solutions à l’enduit sont plus avantageuses pour obtenir un mur à la fois couvrant et élégant. Il faut néanmoins bien choisir le type d’enduit à utiliser, ainsi que sa couleur et ses effets. On vous fait part de la meilleure solution pour enduire votre mur en parpaing en fonction de son type.

Le stuc de chaux pour les murs intérieurs en parpaing

Le stuc de chaux est un enduit décoratif que vous pouvez utiliser pour embellir et protéger votre mur intérieur en parpaing. Ce type d’enduit a un effet lisse rendant le mur brillant et très doux au toucher. Cet effet miroitant devient plus soutenu si vous polissez votre mur en parpaing après l’avoir enduit.

Le stuc de chaux a aussi la particularité d’être résistant à l’humidité, et convient particulièrement à un intérieur contemporain. Pour appliquer cet enduit décoratif, il faut réaliser plusieurs couches de plus en plus fines, en respectant un temps de pose intermédiaire de 2 heures environ. Pour obtenir un effet marbré, il faut écraser la matière au moyen d’un platoir en inox, et jouer avec différentes tonalités de couleur.

La chaux de chanvre pour une bonne isolation par l’extérieur

Pour faire d’une pierre deux coups, utilisez de la chaux de chanvre. Vous pouvez en même temps enjoliver votre mur en parpaing et améliorer l’isolation de votre maison. Cette matière laisse respirer le mur grâce à sa capacité de réguler l’hygrométrie. Appliquée sur les murs extérieurs, la chaux de chanvre est un bon isolant thermique et phonique. Elle n’alourdit pas l’air à l’intérieur du logement.

C’est une solution écologique pour donner du cachet à la façade de votre maison. Pour l’application de l’enduit, il faut composer au préalable un mortier à base de chaux hydraulique et de sable. Ce mélange va servir de couche d’accrochage à l’enduit chanvre-chaux. Ensuite, il faut appliquer l’enduit avec une taloche plastique, et refaire l’opération après 4 heures pour la 2ème passe. Une 3ème passe est nécessaire au bout de 10 jours environ pour la finition.

L’enduit monocouche pour les bâtisses anciennes et les fermes

L’enduit monocouche est le plus utilisé sur le parpaing des bâtisses traditionnelles et des fermes. Sa couvrance est excellente, et son application est rapide, mais il faut la réaliser au moyen d’un pulvérisateur spécifique pour avoir des résultats satisfaisants. Avec cet enduit, le mur garde un aspect naturel, et vous n’avez pas à le rénover plus souvent. Seulement, ce produit est moins efficace sur un mur en parpaing nouvellement monté.

Un autre avantage de l’enduit monocouche est qu’il est adapté à la fois aux murs intérieurs et extérieurs. En plus, il se décline en plusieurs variétés pour vous donner un large choix de style et de couleur. En revanche, il ne laisse pas respirer le mur, bien qu’il fasse partie des enduits les plus onéreux.

L’enduit de lissage pour les murs des maisons modernes

Grâce à son rendu propre et lisse, l’enduit de lissage est le plus adapté au parpaing des maisons traditionnelles. En principe, il s’applique en 3 couches de la plus fine à la plus grasse. La première couche ou gobetis se réalise par projection. La seconde couche ou dégrossi permet de corriger les éventuelles imperfections. Quant à la couche de finition ou couche de protection, elle sert à peaufiner le travail.

En dépit de son application un peu compliquée et longue, l’enduit de lissage accorde de superbes finitions. Seulement, vous devez cirer la surface du mur entre chaque couche pour lui conférer l’aspect lisse attendu. Il est également envisageable de le superposer à un enduit monocouche.

Extraction de cuves : à quel prix ?

L’extraction d’une ancienne cuve à fioul permet de préserver l’écosystème. Les travaux sont onéreux, car la réalisation de ce type d’intervention coûte plusieurs milliers d’euros. L’expérience du prestataire, le type de matériel à utiliser ainsi que la difficulté des travaux jouent un rôle important dans le devis. Mais à combien coûte une extraction de cuves ?

Les étapes à réaliser pour une extraction de cuves

Pour la sécurité des habitants, l’élimination et le traitement des déchets d’hydrocarbures ne peuvent s’effectuer que dans un centre de traitement agrée. De même, seul un professionnel en traitement de cuves peut les réaliser. Les étapes d’une extraction de cuves comprennent : la vidange, le nettoyage, le dégazage et la neutralisation. À noter que ces actions doivent être réalisées avec des matériaux inertes.

La vidange, le nettoyage et le dégazage

Ces trois interventions se réalisent au même moment et l’opération commencera par le dégazage et le nettoyage. L’objectif est d’enlever le reste d’hydrocarbures qui se trouvent au fond de la cuve. Pour réaliser ces 3 opérations prévoyez un budget de 300 à 1 000 €.

La neutralisation

La neutralisation est nécessaire lorsque la cuve est enfouie. Après l’opération, cette dernière est remplie de béton ou de sable. L’objectif est d’éviter qu’une personne malintentionnée ne déterre la cuve. La neutralisation vous coûtera 500 à 100 € en prenant en compte le prix du sable et le temps de réalisation. Attention, si vous comptez réaliser vous-même les travaux (ce qui est déconseillé), suivez à la lettre les étapes précédentes avant de passer à la neutralisation.

L’extraction

L’opération se termine par l’extraction complète de la cuve et son remplacement par une cuve en plastique. Les frais sont moins conséquents comparés à l’extraction d’une cuve métallique. Prévoyez 500 à 1 000 € pour cette dernière étape. Un conseil, extrayez la cuve sans la découper.

Le prix d’une extraction de cuves

Avant de vous lancer dans des travaux d’extraction de cuves, pensez à faire une comparaison de prix. En effet, chaque entreprise détient sa propre politique en matière d’élaboration de devis. Toutefois, le prix de toutes ces opérations tourne autour de 1 000 à 3 000 €. À rappeler que ce prix varie, selon certains critères dont :

  • Le volume de la cuve : l’extraction d’une petite cuve est moins coûteuse que celle d’une plus grosse ;
  • L’emplacement de la cuve : le tarif est plus onéreux si la cuve est éloignée du camion-citerne. Les entreprises vont devoir se servir d’un tuyau de rallonge pour la réalisation du pompage de la cuve, ce qui augmente le tarif ;
  • La complexité des travaux : si l’extraction de la cuve dans son entièreté est difficile, c’est un signe qu’elle est en très mauvais état. Il faudra donc la sectionner. Malheureusement, cette action représente un grand nombre de déchets à traiter, ce qui double le tarif des travaux.

Pour la réalisation de ces opérations, contactez des professionnels en traitement de cuves ! Ils se chargeront d’extraire votre cuve en toute sécurité.

Bon à savoir

  • Informez-vous en amont sur l’entreprise que vous contacterez pour ne prendre aucun risque sur la qualité des travaux ;
  • Sachez qu’il est possible de recycler une cuve à fioul en la transformant en réservoir d’eau. Cela implique d’autres travaux, mais reste un geste 100 % écologique ;
  • Pour vérifier la qualité de prestations d’une entreprise d’extraction de cuves, prêtez attention aux avis sur les forums, au bouche-à-oreille ainsi qu’aux retours des clients ayant déjà fait appel à la société ;
  • La durée d’extraction d’une cuve dépend de la complexité des travaux. Cependant, la moyenne est de 4 à ½ journée.
Les différents types de fer à béton et leur utilisation

Un fer à béton ou barre d’armature sert à consolider le béton armé ou tout type de maçonnerie à renforcer. Il est essentiellement composé d’acier. Il existe le fer à béton haute résistance et le fer à béton lisse, mais cette seconde variété devient de moins en moins présente sur le marché. Pour que la barre d’armature remplisse correctement son rôle de renforts lors des travaux de construction de bâtiment, elle doit être adaptée à son usage. Pour vous aider à y voir clair, découvrez les différents types de fer à béton et leur utilisation.

La tige en fer

La tige en fer, couramment appelée barre classique, est un fer à béton de 6 m de longueur, mais qui peut aussi être vendu en petits conditionnements. Cette barre classique est disponible en plusieurs diamètres à partir de 6 mm. Il est utilisé dans tous les ferraillages liés aux blocs de coffrage ou blocs à bancher.

En outre, quand le poids de l’acier par rapport au béton ne suffit pas pour le ferraillage, on le remplit en ajoutant plus de tige en fer. Lors des travaux de construction, ce type d’armature est souvent sollicité pour raccorder des éléments de ferraillage ou créer des attentes, ou encore pour renforcer un plancher en béton.

Le fer à béton pour poteau

Le fer à béton pour poteau est disponible en plusieurs diamètres de 8×8, 10×10, 15×15… Il sert évidemment à ferrailler les poteaux, mais il s’utilise aussi pour renforcer les appuis supportant des charges. En général, ce type de fer à béton est posé en grand nombre, en position longitudinale. Il est particulièrement utile lors de la construction de dalle et de linteau en béton.

La semelle filante

La semelle filante ou semelle tout simplement, n’est autre que ce fer à béton ayant une partie plate et une partie crochue. Il est doté d’un petit étrier qu’il faut pointer vers le haut lors de sa pose. La semelle S35 est la plus utilisée dans la construction, et vous trouverez sur le marché des modèles 3 barres, 6 barres ou autres. La semelle filante est particulièrement utile lors de l’établissement des fondations d’une construction pour ferrailler la semelle de fondation.

Le fer pour ceinture

L’utilisation de cette barre d’armature est plutôt large, mais on s’en sert généralement pour ferrailler un chaînage ou une ceinture entourant une maison en béton ou une piscine. Il existe des modèles carrés 4 barres à usage multiple, et des modèles épingle 2 barres pour attacher la ferraille dans le béton. Les ceintures triangulaires s’utilisent surtout lors du montage des U.

Le treillis soudé

Le treillis soudé s’utilise pour le ferraillage des dalles. Il faut des treillis de structure (SP) pour renforcer la structure des dalles plus épaisses qui recevront des charges, comme les dalles d’un hangar. Le SP25 est le plus utilisé parmi les treillis de structure.

Pour les ouvrages qui ne supportent aucune charge, il suffit d’un renfort supplémentaire avec des treillis de surface (PAF). Ce type de treillis soudé s’utilise surtout pour bétonner les chapes et les dalles de terrasse. Il peut aussi figurer parmi les armatures en fer à l’intérieur des cloisons en béton. Le PAF C est le plus disponible sur le marché. Il existe également le treillis de carreleur ayant des petites mailles de 5 x 5 pour renforcer la chape de carrelage.

Les murfor

Quand un ouvrage en béton armé subit des charges concentrées, il arrive que sa maçonnerie cède aux tensions de traction engendrées. Pour éviter cet inconfort, il faut renforcer le ferraillage avec des murfor. Ce type de fer à béton peut être déroulé dans les joints de maçonnerie des portes, des fenêtres, des appuis de poutres, et bien d’autres ouvrages en béton.

Peinture de portail qui cloque : comment remédier ?

Après avoir fait passer une peinture, il se peut que des bulles, ou des cloques, apparaissent sur vos murs ou sur vos plafonds. Cela peut se produire également sur un portail. Les cloques sont dues à une mauvaise application de la peinture. C’est pour cela qu’avant de peindre, il faut respecter certaines procédures. Il faut donc être prudent pour que la peinture soit parfaite.

Comment financer l’installation de vos fenêtres double vitrage ?

Depuis les années 70, le double vitrage est devenu la référence aussi bien dans le domaine du neuf que de la rénovation. En effet, cette option est avantageuse à plus d’un titre : meilleur confort thermique et isolation acoustique, renforcement de sécurité sans compter la baisse significative de la facture de chauffage. Vous prévoyez de vous tourner cette année vers les fenêtres double vitrage afin de tirer parti de ses atouts mais vous vous sentez un peu juste en termes de budget? Découvrez avec nous diverses solutions de financement qui s’offrent à vous pour concrétiser un tel projet.

L’Éco-Prêt à taux zéro

Étant donné que le recours au double vitrage s’inscrit pleinement dans un projet de rénovation énergétique, l’État a créé comme mesure incitative un prêt à taux zéro en signant des conventions avec certaines banques. Comme sa désignation l’évoque, c’est un crédit bancaire qui vous est accordé tel un prêt classique pour vos travaux d’installation. Il est cependant assorti d’un taux de 0 % vu que les frais d’intérêts sont facturés à l’État. Depuis le mois de janvier dernier, il est possible de prétendre à un prêt pouvant aller jusqu’à 50 000 € en fonction des travaux envisagés. La pose de fenêtres correspondant à elle seule, le plafond se situe alors à 7 000 €.

MaPrimeRénov’

Remplaçant le crédit d’impôt pour la Transition Énergétique (CITE) depuis janvier 2021, MaPrimeRénov’ est une subvention financière accordée par l’Agence nationale de l’habitat (Anah) au profit des ménages avec des faibles revenus. Son montant est fixé selon le niveau de ressources du prétendant :

  • Revenus très modestes : 100 € par fenêtre
  • Revenus modestes : 80 € par fenêtre
  • Revenus intermédiaires : 40 € par fenêtre

À ce critère de revenus s’ajoutent également la situation géographique du bien à rénover et le nombre de personnes constituant le foyer prétendant. De ce fait, en fonction de votre éligibilité, cette aide peut couvrir jusqu’à 75 % de votre investissement dans la pose de double vitrage.

La prime énergie

Ce sont des programmes d’aide mis en place par les fournisseurs d’énergie au profit des particuliers, pour la réalisation de leurs travaux de rénovation énergétique. En effet, aux yeux de l’État, ils ont leur part dans la sensibilisation à la sobriété énergétique, ces programmes entrent alors dans cette démarche. De plus, cela constitue pour eux un moyen de répondre des émissions de gaz polluants occasionnées par leurs activités. Les procédures à suivre sont assez simples pour pouvoir en bénéficier. Vous devez juste faire une demande de prime avant de procéder à la signature du devis auprès du fournisseur de votre choix. Puis, vous disposez des 6 mois qui suivent la fin des travaux pour communiquer aux débiteurs les justificatifs requis (le devis signé, la facture, une attestation sur l’honneur et une copie du justificatif de revenus). Il est à noter qu’un foyer n’a droit qu’à une seule prime dont le montant se situe entre 400 et 4 000 € suivant les cas. De même que l’aide précédente, cette somme varie en fonction du critère de revenus du sollicitant et de la localisation du bien rénové.

La TVA à taux réduit

Un projet de double vitrage vous donne également accès à un taux de TVA réduit à 5,5 %. À noter que cette réduction s’applique tant à l’achat des équipements qu’au coût de la main-d’œuvre nécessaire. Pour pouvoir justifier votre droit en tant que bénéficiaire, vous devez conserver tous les documents liés aux travaux et les présenter.

Conditions d’éligibilité à ces aides

Ces aides vous sont octroyées sous réserve de certaines conditions en rapport avec votre statut, votre logement, la nature des travaux ainsi que les caractéristiques des fenêtres à installer :

  • Les travaux d’installation doivent concerner votre résidence principale excluant les locaux à usage professionnel.
  • Le logement en question doit avoir une ancienneté de plus de 2 ans.
  • Les fenêtres doivent répondre à des performances thermiques minimes.
  • La réalisation des travaux doit être confiée à des spécialistes en pose de menuiseries, agréées RGE (reconnue garante de l’environnement)

À l’exception de la prime énergie et de l’aide financière MaPrimeRénov’, les aides susmentionnées sont accordées sans condition de ressources et peuvent être cumulées afin d’alléger au maximum les dépenses afférentes à votre installation.

Quel budget prévoir pour désamianter une toiture ?

Possédant des propriétés isolantes, la toiture en fibrociment était longtemps utilisée. Les tuiles étaient effectivement fabriquées avec de l’eau, des fibres d’amiante et du ciment. Or, l’exposition à ces matériaux, notamment lors des travaux de rénovation, peut développer des risques de cancer de poumons. C’est pourquoi, le gouvernement a interdit l’utilisation de l’amiante dans les travaux vers l’année 1997. Cependant, la plupart des maisons anciennes disposent d’une toiture en fibrociment. Pour limiter les risques, le diagnostic amiante est obligatoire avant la réalisation des travaux de rénovation. En cas de présence de ce minéral, il est indispensable de procéder au désamiantage de toiture qui est une opération complexe et coûteuse. Découvrez dans cet article, le budget à prévoir pour le désamiantage de toiture.

Prix d’un désamiantage de toiture ?

Les bâtiments et logements ayant été construits avant 1997 peuvent encore contenir de l’amiante, notamment ceux qui ont une toiture en fibrociment. Étant prouvé comme cancérigène et donc dangereux pour la santé, il est de ce fait indispensable de désamianter la toiture contenant de l’amiante. Toutefois, une telle opération est coûteuse et nécessite obligatoirement l’intervention d’un professionnel. Plusieurs facteurs influent effectivement sur le tarif du désamiantage de toiture. Cela dépend :

-du type d’amiante à traiter ;

-du volume d’amiante à enlever et des risques potentiels ;

– de la surface à traiter ainsi que de l’ampleur des travaux et de l’accès à la toiture ;

-des matériaux utilisés.

Par conséquent, il faut passer par un diagnostic amiante qui constitue le seul moyen permettant d’identifier le type d’amiante et les risques qui y sont liés.

Combien payer pour un diagnostic amiante ?

Pour déceler la présence d’amiante sur la toiture, il est indispensable de passer par le diagnostic amiante.  À la différence de l’examen à effectuer sur les murs et le sol, celui de la toiture est plus onéreux puisqu’il s’agit d’une opération en hauteur. Si le résultat est négatif, le désamiantage n’est pas nécessaire. Dans le cas contraire, il faut obligatoirement désamianter la toiture ou la remplacer complètement. Il est également possible que celle-ci contienne de l’amiante, mais qu’elle n’est pas nocive. Dans tous les cas et quel que soit le résultat, le coût d’un diagnostic amiante toiture peut vous coûter entre 100 et 200 euros.

Quel coût pour les travaux de désamiantage ?

Si la présence d’amiante est confirmée et qu’il faut procéder au désamiantage, vous avez le choix entre deux solutions : l’encapsulage et le remplacement de la toiture.

La première méthode englobe plusieurs techniques qui consistent à emprisonner l’amiante afin de la rendre inerte. Cette technique est la mieux indiquée lorsque la méthode d’extraction n’est pas possible ou trop dangereuse. Pour procéder, on applique un  liant ou un enduit étanche sur les parties amiantées. Par contre, l’imprégnation n’est possible que si les matériaux amiantés sont encore en bon état. Après l’application du produit vient l’étape de la fixation par revêtement qui consiste à placer un film mince sur les matériaux amiantés. La dernière étape est l’encoffrement qui permet de mettre en place une structure étanche. Cela est indispensable pour limiter l’émission des fibres d’amiantes. L’encapsulage peut coûter entre 20 et 50 euros par m².

S’il s’agit d’une toiture en fibrociment, le remplacement complet de celle-ci est la meilleure solution pour se débarrasser de l’amiante. Cependant, c’est la plus coûteuse et la plus complexe. En effet, en dehors de la dépose des plaques de ciment, il faut prévoir leur transport et leur recyclage dans un endroit spécialisé. Une fois que les travaux soient terminés, il faut procéder à l’élimination des déchets qui doivent être bien emballés et isolés.

Toutefois, sachez qu’il est possible de bénéficier d’une aide financière pour des travaux de désamiantage de toiture. Cependant, vous ne pouvez y prétendre que sous certaines conditions.

Pose d’une chape fluide : combien ça coûte ?

La chape fluide désigne une couche de mortier liquide fabriqué avec du ciment, du sable, de l’eau et éventuellement de l’anhydrite. En général, la chape fluide est utilisée pour unifier le sol et pour améliorer sa planéité afin d’optimiser la fixation des carrelages ou d’autres revêtements. Bricoleur amateur, il est tout à fait possible de réaliser la pose d’une chape fluide soi-même. Toutefois, cette opération nécessite un savoir-faire spécifique, car une simple erreur de réalisation peut nuire à la solidité de la structure. Ce qui entraînera des dépenses supplémentaires, car il faudra recommencer le tout. De ce fait, il est préférable de confier ce type de travaux à des entreprises spécialisées en pose de chape fluide afin de garantir la qualité du travail. Toutefois, cette prestation n’est pas donnée et il est indispensable de réaliser un devis avant de se lancer. Pour vous aider à estimer le prix de la pose d’une chape fluide, voici les critères à prendre en compte .

Le type de chape

Le choix de la composition de la chape utilisée pour un chantier influe grandement sur la facture de la pose et le coût des matériaux. Il existe deux types de chape fluide qui peuvent servir de finition pour le terrassement d’un sol intérieur. D’abord, il y a la chape traditionnelle qui est fabriquée avec du ciment, de l’eau et du sable. Dans ce cas, le coût dépendra du prix et de la quantité nécessaire pour l’opération. Ensuite, il est possible de réaliser une chape liquide avec de l’anhydrite, mais cette option vous coûtera un peu plus cher et prendra plus de temps à sécher. Par ailleurs, la chape est choisie en fonction du chantier et de l’opération à réaliser. En effet, on n’utilise pas le même type de chape pour refaire un carrelage que pour la création d’un plancher chauffant, notamment au niveau de la consistance de la chape et de l’épaisseur. Ce qui affecte bien sûr le prix de revient.

La fabrication

Il y a deux façons distinctes d’obtenir une chape liquide, ce qui fait varier le coût de la pose. D’un côté, il est possible de réaliser le mélange sur le chantier. Pour cela, il faut engager une personne pour réaliser l’opération afin de maintenir la fluidité de la chape jusqu’à la fin de la pose. Il est aussi possible de louer un matériel spécifique pour la fabrication de la chape. D’un autre côté, il est maintenant possible de commander de la chape fluide auprès d’entreprises spécialisées dans le bâtiment. Dans ce cas, votre béton prêt-à-l’emploi vous sera livré dans un camion toupie et il ne vous restera plus que la pose. Ce qui réduira les démarches de la construction ou de la rénovation, ainsi que le coût. Toutefois, il faut tenir compte de la distance entre le chantier et l’entreprise, car le prix du transport peut risque d’influer sur la facture.

Le type de chantier

Notons que la pose d’une chape liquide est facturée au m², notamment de 18 à 22 € pour chaque mètre carré. De ce fait, la somme destinée à la main-d’œuvre variera selon la surface à remplir. De plus, la quantité de béton diffère sur chaque chantier puisque l’épaisseur et la consistance ne sont pas les mêmes. Par ailleurs, l’accessibilité peut aussi constituer un facteur déterminant pour le coût de l’opération. En effet, un chantier difficile d’accès exigera beaucoup plus de temps et d’effort pour poser la chape, car il faudra compter les heures pour le transport. Enfin, le type de pose devra changer selon la surface à remplir, car les opérations à effectuer ne sont pas les mêmes, ainsi que le matériel à utiliser. De ce fait, le prix de la pose variera obligatoirement selon le type de chantier.

Le prestataire

Notons que la pose d’une chape fluide sur un plancher en béton exige un savoir-faire spécifique et un matériel de pointe. De ce fait, il est préférable de confier les travaux à des spécialistes en travaux d’intérieurs et d’extérieurs afin de garantir la qualité et la durabilité du sol. Toutefois, les prestations sont assez onéreuses. De plus, les artisans sont actuellement engagés dans une vraie course pour avoir des clients. Néanmoins, il est impératif de bien s’informer sur les références de chaque entreprise avant de choisir. N’hésitez pas à demander à vos proches afin de trouver un artisan performant et à un tarif raisonnable. Nous vous conseillons également de procéder à un comparatif de devis auprès de plusieurs établissements afin de trouver une offre qui vous convient.