Guide d’installation d’une piscine tubulaire

Une piscine tubulaire est un bassin hors-sol qui convient à une utilisation saisonnière. Elle a principalement pour avantage de ne nécessiter aucun aménagement particulier et d’une autorisation préalable. D’une manière générale, elle est montée dès les premiers beaux jours, puis vidée, lavée, démontée, pliée et rangée à la fin de l’été. En gros, c’est une piscine à la fois économique, fiable et pratique. En effet, elle est facile à monter et pour préserver la qualité de l’eau de la baignade, elle est équipée d’un groupe de filtration qui comprend une pompe et un filtre à cartouche ou à sable dimensionné selon la taille du bassin. Si vous aussi à l’approche de l’été êtes tenté par ce petit bijoux faites appel à l’équipe d’ECB AMÉNAGEMENT. Dans les lignes ci-dessous, retrouvez tout ce qu’il faut faire si vous voulez installer vous-même votre piscine.

01. Choisissez bien l’emplacement de la piscine

Avant de procéder au montage de la piscine, il est nécessaire d’effectuer quelques préalables. Pour ce faire, commencez par bien choisir l’emplacement de votre piscine. Le sol sur lequel sera positionnée la piscine devra être le plus plat possible. De préférence, installez-là sur du gazon ou de la terre. Optez pour un endroit propre et proche d’un point d’eau, avec une prise électrique à proximité pour brancher facilement le système de filtration. À part cela, choisissez également un lieu où le soleil sera au rendez-vous pour vous garantir une baignade confortable.

02. Préparez le terrain

Le choix de l’emplacement effectué, il est temps de préparer le terrain ! Pour ce faire, déblayez le futur emplacement de la piscine. Enlevez les pierres, les mauvaises herbes et les éventuelles racines pouvant abîmer ou trouer le liner. Une fois le terrain bien déblayé et prêt à accueillir votre piscine, positionnez un tapis de sol pour renforcer la protection du bassin. D’une manière générale, ce dernier est inclus dans le kit.

03. Déballez soigneusement la piscine tubulaire

Les préalables effectués, ouvrez délicatement le carton de votre piscine et retirez soigneusement l’ensemble des éléments y figurant (tubes, liner…). Avant de procéder au montage proprement dit, vérifiez d’abord que tous les éléments sont bien présents. Pour cela, aidez-vous du tableau de nomenclature sur la notice.

04. Montez la piscine

Pour débuter le montage, dépliez le liner sur le sol et laissez-le chauffer au soleil un moment afin qu’il se détende et s’assouplisse. Durant ce laps de temps, lisez attentivement la notice pour que vous sachiez les différentes étapes du montage. Après quelques minutes, lorsque le liner sera bien détendu et assoupli, clipsez les différents tubes qui composent la structure et faites-les passer dans le liner. Une fois la structure érigée, il ne vous reste plus qu’à installer les différents accessoires (skimmer de surface, échelle de sécurité, etc.) et votre système de filtration sans encore le brancher électriquement.

05. Remplissez la piscine

Arrivé à la dernière étape, avant de procéder au remplissage de la piscine, assurez-vous que la partie intérieure de la bonde de vidange soit correctement fermée et que la partie extérieure soit bien vissée. Le tout au point, munissez-vous d’un tuyau d’arrosage et débutez le remplissage. Pendant cette phase, il est important de veiller à ce que le liner reste plat et sans plis. Si le cas contraire se présente, stoppez le remplissage, tirez le liner et éliminez tout d’abord les différents plis. Avant de remplir complètement la piscine, remplissez-là à seulement sur 1 ou 2 cm afin de vérifier que le niveau d’eau soit identique de chaque côté  du bassin. S’il est stable, vous pouvez continuer, s’il est penché d’un côté , vous devriez vider votre piscine et remettre le terrain à niveau. C’est seulement lorsque le bassin sera rempli que vous allez brancher électriquement votre système de filtration.

Maintenant que vous savez tout, nous espérons que ce petit partage vous a plu et nous vous donnons rendez-vous à très vite pour de nouveaux sujets !

Modifier ou abattre une cloison : les précautions à prendre

Dans le but d’obtenir une configuration beaucoup plus convenable, il importe parfois de détruire une ou des cloisons. En réalité, l’opération est assez simple à effectuer. Cependant, malgré sa simplicité, la modification ou la destruction d’une cloison peut engendrer des dégâts irréversibles. Le mieux serait de prendre ses précautions au maximum. Voyons les dispositions à prendre.

Déterminer le type de cloison

Avant de se mettre à la modification de cloison, il importe d’identifier le type de mur dont on dispose. La méthode la plus courante consiste à mesurer l’épaisseur du mur. Un mur porteur mesure généralement environ 30 cm tandis qu’une cloison mesure environ 10 cm. Lorsque l’on toque le mur, si le son est creux, il s’agit d’une cloison.

Lorsque le son est plein, il est fort possible qu’il s’agisse d’un mur porteur. De plus, s’il existe des poutres apparentes qui s’appuient sous un faux plafond, il s’agit également d’un mur porteur. Il est parfois important de recourir au plan de la maison pour identifier de façon rapide et précise le type des murs.

Vérifier la présence ou non de fils électriques

La seconde précaution à prendre avant de démolir sa cloison est la vérification de l’absence de fils électriques. Les conséquences de la démolition d’un mur abritant des conduits d’électricité peuvent être très déplaisantes. Pour le faire, il faudra se servir d’un détecteur de métaux. Le circuit des arrivées d’eau et d’électricité dans les salles voisines serviront également à la détection.

Par ailleurs, lorsqu’il s’agit de cloison en panneaux, en plâtre ou le placoplâtre, il revient à identifier les rails métalliques. Ces rails ont pour rôle de maintenir les plaques. Après identification, les rails peuvent être dévissés pour démontrer les plaques.

Renforcer le plafond et le plancher

La modification de la cloison implique des travaux de cassures qui risquent de fragiliser la structure de la pièce. Cela est une éventualité qui ne se prévoit pas forcément. Autant être prudent en renforçant les supports du plancher et du plafond. Les étais en métal réglables sont les éléments adéquats pour cette précaution. Ils permettent d’éviter l’affaissement du plafond et du plancher en renforçant leurs supports.

La pose d’étais en métal est cruciale pour la majorité des travaux de rénovation, d’aménagement intérieur, etc. Cependant, toute la surface du plafond n’est pas concernée par la technique de renforcement. Il s’agit plutôt de la surface supportant le mur à modifier.

Sécuriser la pièce et le travailleur

Avant la modification de la cloison, il importe de protéger les équipements de la pièce. La sécurité du travailleur est le facteur crucial sur lequel l’accent doit être mis.

Protéger le sol et le mobilier

Tout travail de construction, de rénovation, ou de réfection laisse une particularité commune apparente qu’est la poussière et les débris. Les débris sont propagés sur le sol du chantier qui est la chambre dans le cas de la modification de cloison. Or, certains appareils sont susceptibles de se mettre hors d’usage une fois en contact avec une quantité de poussière donnée.

Les meubles risquent également d’être salis par la poussière et les débris. D’où le fait de recouvrir les meubles et le sol fait partie des étapes à suivre pour modifier une cloison. De grandes bâches feront amplement l’affaire.

Se protéger

Pour concasser un mur, il est normal de recevoir de la poussière sur tout le corps. Pour mieux se protéger, une combinaison de travail est nécessaire. Les équipements adéquats pour se protéger sont entre autres :

  •         des lunettes de protection ;
  •         des gants ;
  •         une combinaison ;
  •         un masque de sécurité pour le visage.

La modification de la structure d’une maison est néanmoins une tâche réservée aux professionnels. Il est donc préférable de confier la mission à une entreprise spécialisée telle que SAS MKE pour un travail impeccable. Avec les experts en rénovation, les éventuels risques de dommages sont éliminés.

Est-ce qu’il est possible de faire un enrochement de talus soi-même?

L’enrochement est un aménagement de jardin qui consiste à utiliser des rochers et des blocs de pierre pour servir de décoration ou de soutien de la terre. Cette idée permet de protéger une habitation contre des glissements de terrain. Découvrez notre guide pour réaliser l’enrochement de soutènement soi-même.

L’enrochement: tout ce qu’il faut savoir

Les travaux d’enrochement sont l’ensemble de plusieurs procédés qui permettent de placer des pierres et des rochers sur une partie de votre jardin. L’utilisation de cette technique est destinée au terrain en pente. Au-delà du rôle de protection, il sert également de décoration. Ainsi, il existe deux types d’enrochement.

    • Les enrochements paysagers qui permettent de décorer le jardin avec des rocailles et des blocs de pierres.
    • Les enrochements de soutènement ou enrochements de talus consistent à maintenir la terre d’un terrain en pente pour éviter toute catastrophe comme un éboulement ou un glissement de terrain.

C’est une construction naturelle qui n’est pas si complexe que ça. C’est aussi une occasion pour construire un mur de soutènement. L’enrochement est une option pour soutenir la terre grâce à un talus. Cependant, il est nécessaire de demander des conseils à un professionnel de terrassement avant de commencer les travaux, surtout s’il s’agit de la sécurité de votre habitation.

L’enrochement de talus

En général, le principe est de maintenir la stabilité de la terre. C’est une solution moins coûteuse par rapport à l’installation d’un mur de soutènement. Par contre, l’enrochement de talus est plus complexe. Un terrain en pente présente un danger pour les travaux et pour vous-même. En règle général, on ne peut pas réaliser soi-même les travaux d’enrochement de talus à cause des contraintes liées à votre sécurité et celui de votre maison. La construction d’un mur en pierre est facile à faire qu’un enrochement. Les travaux occasionnés garantissent la stabilité du terrain et réduire à néant les risques d’accidents physiques. En effet, l’intervention d’un professionnel est plus raisonnable puisqu’il faut utiliser un matériel mécanique. L’enrochement de talus exige la connaissance de quelques techniques de pose et de maîtriser certains critères esthétiques.

Les étapes à suivre pour réaliser l’enrochement de talus

 

La préparation de l’enrochement

Il semble logique que vous aurez besoin de beaucoup de rochers pour pouvoir réaliser l’enrochement de talus. Il est primordial que les travaux se passent sur un talus stable. Vous pouvez utiliser un film géotextile pour éviter que les plantes ne s’incrustent entre les rochers de talus.

La mise en place de la première rangée de pierres

Avant de commencer la pose des premiers rochers, il faut remplir le sabot de gravier et de pierres. Cela permet d’aligner la première rangée sur le sabot. Il est nécessaire que cette dernière soit bien ancrée dans le sol. On vous conseille d’utiliser des pierres à face plate, pour qu’ils se placent facilement les unes au-dessus des autres. Une fois terminé, comblez les trous avec des petites pierres pour caler les rochers.

L’enrochement proprement dit

    • Classifiez les pierres pour qu’ils soient toutes plates afin de les mettre par-dessus. Il est nécessaire d’utiliser des pierres qui possèdent une forme avec un emboîtement naturel côte à côte. Il est primordial qu’il n’y a aucun écartement entre les deux pierres.
    • Soyez sûr de votre action avant de poser un rocher à l’aide d’une pelle mécanique. Limitez au maximum les déplacements de pierres pour ne pas déstabiliser celles en dessous.
    • Ne passez pas à une nouvelle rangée avant d’être sûr que la première soit stable
    • Entre les rangées de pierres, croisez les joints pour maintenir la solidité de l’enrochement.
Contrôle d’accès biométrique ou par badge : quelle est la meilleure option ?

Si vous projetez de faire installer un système de contrôle d’accès pour votre bâtiment ou votre local professionnel, vous recherchez sûrement le dispositif le plus fiable et le plus adapté à vos besoins. Le système de contrôle par badge ou le contrôle d’accès biométrique sont des choix intéressants, si vous avez besoin d’un dispositif fiable. Découvrez dans cet article les particularités de ces deux systèmes ainsi que leurs avantages.

Le contrôle d’accès par badge

Principe et fonctionnement

Le système de contrôle d’accès par badge est l’un des dispositifs les plus fiables pour sécuriser tout type de bâtiment ou de local professionnel. Son fonctionnement est assez simple et son installation peut se faire rapidement par les professionnels spécialisés dans la pose de contrôles d’accès.

Le dispositif comprend un lecteur de badge installé à une entrée, une sortie ou une porte quelconque du bâtiment. Ce lecteur contient une puce qui communiquera avec le badge par onde radio. En fonction des informations qu’il recevra, le lecteur de badge va exécuter la commande souhaitée à savoir verrouiller ou déverrouiller la porte.

Certains modèles de contrôle d’accès par badge sont centralisés, c’est-à-dire contrôlables à distance via un ordinateur, une tablette ou un smartphone. Ces dispositifs peuvent également être configurés et programmés selon vos besoins (ouverture ou fermeture des portes automatiques, autorisation de badge ou interdiction d’entrée, etc.).

Les avantages du contrôle d’accès par badge

Le contrôle d’accès par badge permet de mieux gérer le flux de personnes circulant dans un bâtiment professionnel. Étant modulable et facile à utiliser, il peut être configuré pour s’adapter à vos besoins.

Avec ce système, les tentatives d’intrusion et de vol seront largement réduites, car l’accès sera limité et contrôlé de jour comme de nuit.

Ce dispositif contribue à garantir la sécurité de vos collaborateurs. Ces derniers se sentiront à l’aise et pourront continuer à travailler en toute sérénité.

À la différence d’une clé, le badge ne peut pas être dupliqué et en cas de perte, ce dernier sera tout simplement désactivé et inutilisable.

En optant pour un contrôle d’accès par badge, vous gagnerez également en crédibilité. En effet, en faisant installer ce type de contrôle d’accès, vous prouvez que vous êtes professionnel et que la sécurité de vos biens et de vos collaborateurs est l’une de vos priorités.

Le contrôle d’accès biométrique

Le principe et le fonctionnement du contrôle d’accès biométrique

Le contrôle d’accès biométrique est un système centralisé se basant sur la reconnaissance physique d’un individu. Ce système utilise certaines caractéristiques propres à une personne comme ses empreintes digitales ou son iris pour l’identifier. Il est également possible d’utiliser d’autres moyens biométriques comme les traits du visage, la paume ou la forme des mains ou encore la rétine.

Plus besoin de badge ou de carte, ce type de contrôle d’accès est composé d’un lecteur biométrique qui va scanner votre empreinte digitale ou votre iris. Si vous êtes reconnus, le dispositif de contrôle pourra vous autoriser ou vous refuser l’entrée.

Les avantages du contrôle d’accès biométrique

L’utilisation du contrôle d’accès biométrique offre des avantages intéressants aussi bien à l’entreprise qu’aux collaborateurs. En voici quelques-uns :

    • Fiabilité : le contrôle biométrique est très précis et sa duplication est impossible.
    • Le scan et l’identification se font rapidement et efficacement ;
    • L’identification peut se faire à tout moment ;
    • L’accès biométrique ne peut pas être donné à quelqu’un d’autre ;
    • Il est associable à d’autres systèmes de sécurité (caméra de surveillance, détecteurs de mouvements, etc.) ;
    • Il peut prendre en charge un grand nombre d’utilisateurs ;
    • Il convient parfaitement aux besoins des entreprises et des commerces.
Un tapis en carrelage pour sublimer la décoration intérieure

Les tapis en carrelage sont des moquettes modulaires qui se présentent sous forme de carrés découpés dans des rouleaux muraux. Ils sont ensuite assemblés qui peuvent être assemblés pour former un tapis. Les tapis de carrelage sont un revêtement de sol qui devient de plus en plus tendance dans les intérieurs.

Les avantages d’un tapis de carrelage

Grâce à leur petite taille, les tapis de carrelage sont beaucoup plus faciles à soulever, à déplacer et à installer par rapport aux moquettes murales. De plus, ils génèrent beaucoup moins de déchets lors de la pose, car ils nécessitent moins de découpes, en particulier dans les pièces comportant de nombreux recoins et angles difficiles à atteindre. La plupart des fabricants misent sur des tapis de carrelage très légères pour faciliter encore plus la pose.

Les tapis de carrelage ne sont pas seulement faciles à installer, mais aussi à enlever. En cas d’usure et de dommages, il peut être remplacé uniquement sans que vous ayez à remplacer tout le carrelage.

Un autre avantage des tapis de carrelage sont le mode d’entretien. Cela implique que est que les carreaux peuvent être facilement soulevés si l’on veut accéder au sol sous-jacent. Les techniciens peuvent accéder aux câbles souterrains en cas de besoin. C’est un avantage non négligeable dans les espaces qui sont constamment soumis à des changements, comme les salles de conférence ou encore certaines pièces de votre maison. .

Les tapis de carrelage vous offrent une grande souplesse de conception. Grâce aux nouvelles technologies de teinture, il est possible de créer une large gamme de couleurs et de motifs. En appliquant la teinture après la découpe de la moquette en carrés modulaires, il est possible d’obtenir des motifs originaux et personnalisables.

Différents usages

Le projet que vous concevez est le facteur déterminant des propriétés que vous devrez prendre en compte dans votre choix de votre tapis de carrelage. Par exemple, dans les bureaux, les propriétés acoustiques peuvent être votre principale préoccupation, tandis que si vous concevez un hôtel, le luxe est un facteur important.

Tapis en carrelage à usage commercial

Pour un hôtel ou un restaurant raffiné, les tapis de carrelage peuvent ne pas répondre à vos besoins. Dans ce cas, vous devez compléter la déco avec une moquette murale personnalisée de haute qualité. Pour les bistrots, les clubs ou les pubs, les tapis de carrelage sont de plus en plus populaires. Ils offrent un excellent rapport qualité-prix, mais aussi l’endurance, la facilité d’entretien et les propriétés acoustiques.

Tapis d’extérieur

Si vous êtes du genre créatif, il est facile de fabriquer un tapis personnalisé de la taille parfaite pour votre espace. Pour commencer, il suffit de choisir les carreaux dans les couleurs ou les motifs que vous souhaitez, et d’assembler chaque carré jusqu’à ce que vous obteniez la taille souhaitée. Vous pouvez facilement la placer sur un patio, dans un solarium ou sur un balcon. .

Tapis de gymnastique

Les tapis en carrelage à emboîtement constituent un excellent revêtement de sol pour les salles de sport. C’est une solution idéale si vous voulez quelque chose que vous pouvez assembler et démonter. C’est en effet assez pratique pour faire des étirements, du yoga et d’autres exercices d’autant plus qu’ils requiert pas un espace de stockage spécifique.

Mais quel que soit l’usage que vous faites de votre tapis en carrelage, il faudra savoir jouer avec les couleurs et textures afin qu’il s’harmonise parfaitement avec la décoration. De par la polyvalence de ce type de revêtement, vous pouvez aussi bien l’utiliser dans votre pièce à vivre que dans votre espace extérieur.

Comment nettoyer un carrelage très encrassé ?

Le carrelage est un revêtement élégant utilisé pour magnifier un espace. Néanmoins, lorsqu’il est très encrassé, ce n’est plus véritablement le cas. Dans de telles conditions, les meilleures serpillères et même les meilleurs nettoyants pour le ménage ne sont pas efficaces. Mais heureusement, il existe de nombreuses astuces pour rétablir l’éclat d’origine du carrelage encrassé. Découvrez ici les méthodes pour nettoyer un carrelage très encrassé.

Peinture ou enduit décoratif pour le mur de la salle de bain ?

Les murs de votre salle de bain ont besoin de faire peau neuve ? Cet article vous aide à choisir entre peinture et enduit décoratif pour réussir l’habillage mural.

Peinture : peu coûteuse

Avantages

Pour rehausser l’esthétique de votre salle de bain à mini-prix, la peinture est une bonne option. Autre avantage, elle s’applique facilement puisqu’elle ne demande ni collage ni joints. Avec une certaine habileté, vous pouvez même faire l’impasse sur les services d’un peintre d’intérieur. Toutefois, son intervention est importante pour choisir soigneusement les couleurs adaptées à vos envies et au style de votre salle de bain. Le peintre pourra facilement accentuer le style scandinave, industriel, ou rétro de la pièce tout en apportant de l’originalité à la pièce.

Choix de peinture 

Par ailleurs, le choix d’une peinture pour salle de bain ne se base pas uniquement sur le coloris, mais aussi sur son son adaptation à une pièce humide. Le produit choisi doit être durable, imperméable et résistant même après de nombreux lessivages. La peinture à l’eau (acrylique) en fait partie. Elle se dégrade lentement et ne retient pas les taches. Lavable à l’eau, elle est peu toxique et résiste aux moisissures et à la chaleur. Pour une durabilité maximale, préférez les peintures acryliques de haut de gamme.

Si vous êtes à la recherche d’une peinture super-résistante à l’humidité, meilleure que l’acrylique, tournez-vous vers la glycéro. En plus d’être lessivable, elle ne s’écaille pas facilement. Toutefois, elle est peu recommandée en raison de sa composition : le white spirit qui est néfaste et polluant.

Finition 

Certains artisans recommandent la peinture satinée classique. Ce produit résiste à la chaleur et à la condensation, mais demande un support parfait. Quant au fini mat, il se lustre en raison de la condensation. Si vous voulez vraiment l’utiliser, réservez-le pour l’habillage du plafond.

Enduit décoratif

Avantages

Les murs de votre salle d’eau sont en mauvais état ou sont remplis d’imperfection ? L’enduit décoratif est le revêtement mural qu’il vous faut du fait de son épaisseur. Réalisé à base d’argile, de chaux, de ciment ou de plâtre, il peut se décliner en plusieurs coloris en ajoutant des pigments dans le mélange. Vous pouvez, ainsi explorer des possibilités presque infinies pour personnaliser votre salle de bain.

Application

L’application d’enduit décoratif est accessible aux amateurs puisque l’effet recherché est souvent l’irrégularité. Il faut juste éviter les excès et les manques d’enduit sur le mur. Toutefois, pour obtenir un revêtement mural durable, quelques conditions sont à remplir : le mur doit être à la fois sec, propre et lisse.

Il faut aussi savoir que la préparation de l’enduit et le nombre de couches à appliquer demandent de la rigueur. Sur le marché, vous pouvez dénicher des enduits prêts à l’emploi et d’autres qui demandent encore une préparation sur le chantier. Pour un résultat impeccable, sollicitez un peintre de bâtiment à Marseille.

Choix de peinture

Bon nombre de peintres suggèrent l’usage du tadelakt. Cet enduit de finition venant tout droit du Moyen-Orient convient parfaitement aux pièces humides grâce à ses propriétés fongicides et grâce à son imperméabilité. Composé de chaux, de poudre de marbre et de pigments, cet enduit déco effet pierre polie apporte un effet de brillance. Vous avez le choix entre le rouge, la terre brûlée, le jaune sourd et l’ocre pour décorer votre salle de bain. Toutefois, son application est si délicate que l’intervention d’un spécialiste est nécessaire.

Pour ceux qui souhaitent avoir une salle de bain rustique et chaleureuse, l’enduit à la chaux est une bonne solution. Utilisé depuis des siècles, il a une couleur de sable naturelle, mais peut aussi avoir une teinte variée en additionnant des pigments.

Quelle puissance pour un électrificateur électrique ?

Traditionnellement utilisées dans les activités agricoles et avec les animaux, les clôtures électriques se sont répandues dans les villes. Actuellement, elles sont utilisées dans les résidences et les industries urbaines. Leur but est d’empêcher les intrusions.

Malgré leur popularité, de nombreuses questions se posent quant au voltage et à l’ampérage exacts des clôtures électriques.

Comment fonctionne la clôture électrique ?

La clôture électrique est un système de pose de fils auquel un équipement électrificateur envoie des impulsions haute tension toutes les 2 secondes.

Pour que le système fonctionne, les impulsions doivent circuler, c’est-à-dire avoir un trajet aller-retour. La solution consiste à connecter le premier fil sous tension à l’une des bornes du générateur et le dernier à l’autre borne. Pour que la circulation ne soit pas interrompue, des isolateurs en plastique sont placés entre les fils et les poteaux ou les tiges.

Lorsqu’un intrus touche ou tente de couper l’un des fils, il reçoit un choc électrique. Par ailleurs, lorsque les impulsions sont interrompues, le système envoie un signal d’alerte.

Voltage et ampérage de clôtures électriques de sécurité

La clôture électrique de sécurité est une installation haute tension. Les impulsions d’énergie sont comprises entre 8 000, 10 000 et 15 000 volts. Cette tension est produite par l’équipement d’alimentation : l’électrificateur. Il convertit le courant alternatif domestique de 220 volts en décharge électrique. Bien que le chiffre semble très élevé, ces impulsions haute tension n’ont qu’un effet dissuasif ou répulsif sur l’intrus. Elles ne causent pas trop de dommages physiques.

Rappelons qu’une impulsion de courant électrique se caractérise par :

    • La tension. Les volts mesurent la tension d’un courant électrique, c’est-à-dire la force avec laquelle il circule dans un circuit. Par exemple, entre les deux points d’une prise domestique, il y a 220 volts. Une batterie a une tension de 1,5 volts et une batterie de voiture 12,5 volts.
    • L’ampérage. Les ampères mesurent l’intensité du courant électrique dans un temps donné.
    • La puissance. C’est le résultat de la multiplication des volts par les ampères. C’est une information importante pour calculer la consommation d’électricité.

Ainsi, le contact avec la clôture électrique ne provoque qu’un engourdissement du muscle. Cela oblige l’intrus à lâcher le fil et à s’éloigner. En effet, le courant électrique ne le traverse pas, seulement les impulsions à haute tension.

Problèmes pratiques à considérer lors de l’installation d’une clôture électrique

Plusieurs aspects pratiques doivent être pris en compte pour que la clôture électrique devienne une solution et non un nouveau problème.

    • Certifications. Bien qu’aucune législation spécifique n’autorise ou n’interdise ces installations, la norme internationale IEC 60335-2-76 sur les installations électriques doit être prise en compte. Cette norme établint que le système ne doit causer de tort à aucun être vivant.
    • Interdictions. Il est strictement interdit d’électrifier les barbelés ou les accordéons.
    • Hauteur minimale. Dans les murs mitoyens ou les murs donnant sur la rue, la hauteur minimale est de 2,30 mètres.
    • Signalisation. Des panneaux doivent être placés tous les 10 mètres, avec des inscriptions et des pictogrammes signalant l’électrification de la clôture.
    • Fils. Les fils transportant l’électricité doivent être sous tension et une mise à la terre est nécessaire. Ces fils doivent aller par paire pour que l’électricité traverse toute la clôture et ait une sortie et un retour. Il doit y avoir 15 cm de distance entre les fils.
    • Composition du système. Le système doit comporter des poteaux, des tiges pour éviter la déformation des fils, des isolateurs en plastique ainsi que des tendeurs.

Pour toutes ces raisons, une clôture grillagée reliée à l’installation domestique ne doit jamais être électrifiée. Si l’idée est d’installer une clôture électrique, il est préférable de demander l’avis d’un spécialiste.

Des conseils pratiques pour ouvrir une porte blindée bloquée

La porte blindée est l’une des inventions les plus convoitées au monde. Elle procure de nombreux avantages dont la sécurité. Depuis son invention, la porte blindée a déjà sauvé la vie de nombreuses personnes contre les cambrioleurs et les attaques armées. Pourtant les qualités de ce dispositif peuvent se retourner contre son utilisateur, car il risque de se verrouiller sans son intervention. Cette situation s’est déjà produite de nombreuses fois et l’intervention d’un serrurier fut la seule solution. Cependant, avant de paniquer et de faire appel à un professionnel, essayez les techniques ci-dessous.

Le crochetage

Le crochetage est une technique ayant pour but de déverrouiller une serrure en usant d’un crochet et d’un entraîneur. Le crochet est utilisé pour réaliser la combinaison de la serrure et l’entraîneur permet d’effectuer une rotation. Cette technique reste la plus efficace pour ouvrir une porte blindée bloquée. Malgré les progrès effectués par les serruriers en matière de déverrouillage, le crochetage est la méthode la plus prisée. La raison en est simple, elle est la seule dont l’efficacité est garantie si vous la réalisez comme il faut. De plus, le crochetage détient un avantage majeur par rapport aux autres techniques : elle n’endommage pas totalement le système de la porte. A noter que crocheter une porte blindée est plus complexe que crocheter une simple porte. Afin d’obtenir de bons résultats, il faudra faire usage des bons outils et maîtriser les étapes d’un crochetage.

La carte de crédit

Ouvrir une porte blindée à l’aide d’une carte de crédit est possible, en revanche la réalisation risque d’être compliquée. Cette méthode est beaucoup plus difficile à appliquer que le crochetage, mais le résultat est tangible.  Plusieurs étapes seront nécessaires pour ouvrir une porte blindée bloquée grâce à une carte de crédit :

  • Insérez la carte de crédit au milieu de la porte et de l’encadrement ;
  • Positionnez la carte de crédit de manière perpendiculaire à la porte ;
  • Poussez-la jusqu’à ce qu’elle touche la poignée de porte ;
  • Ouvrez.

En moyenne, les particuliers qui s’essaient à cette technique ne prennent que 3 minutes avant de pouvoir déverrouiller la porte.

Le by-pass

Dans le cas d’une porte blindée claquée, cette méthode est plus appropriée afin d’éviter d’endommager la porte. Non seulement la technique du by-pass est facile à appliquer, mais elle est aussi peu onéreuse. Le principe du déverrouillage par by-pass consiste à faire vibrer la porte jusqu’à son ouverture. Pour la réaliser, procurez-vous d’une feuille de radiographie et placez-la au milieu de la porte et de l’huisserie. Son rôle sera de réenclencher le système. Attention, le by-pass n’est efficace que si la porte blindée n’est pas verrouillée. Dans ce cas de figure, appelez directement une société de serrurerie.

Le bump keying

Le bump keying est une technique de déverrouillage prisée par les professionnelles pour ouvrir des portes blindées bloquées. Elle n’est apparue que très récemment et a déjà servi à de nombreuses occasions à travers le monde. Le bump keying n’est pas une technique difficile à réaliser, car il suffit de détenir le bon matériel. Le principe est de recréer la forme de la clé initiale au cas où l’original serait perdu. Par la suite, il faudra l’introduire dans la serrure pour débloquer le système. Une fois celle-ci insérée, le mécanisme de la serrure devrait tomber afin de permettre la rotation de la clé. Aucune crainte à avoir, cette méthode ne risque pas d’endommager votre porte blindée. Bien entendu, si des doutes persistent dans votre esprit quant à votre capacité à reproduire seul cette technique, contactez un serrurier sans tarder, et laissez-le agir.

 

 

Guide pour choisir un électrificateur de clôture

Un électrificateur délivre une décharge électrique dès lors qu’un animal ou un être humain entre en contact avec les fils, cordons ou rubans de la clôture. En effet, il sert à mettre ces derniers sous tension pour empêcher quiconque de réitérer le contact. Parmi les nombreux modèles proposés sur le marché, il est très facile de se perdre, surtout quand on ne s’y connaît pas. Nous vous détaillons les différents éléments à prendre en compte avant d’acheter un électrificateur de clôture.

Le mode d’alimentation

Un électrificateur a besoin d’une source d’énergie pour fonctionner normalement. Il peut être alimenté sur secteur 230 V, par pile 9 V, par batterie 12 V (avec ou sans panneau solaire).

Les électrificateurs de clôture branchés sur secteur ont une durée de vie plus longue. Ils ne demandent pas beaucoup d’entretien, et sont réputés pour leur puissance accrue.

Les clôtures temporaires fonctionnent généralement avec une pile 9 V. Pour une grande clôture ou une clôture permanente, ce ne sera pas trop pratique. En effet, il faut changer la pile une fois usée et jeter celle-ci.

Ceux qui sont branchés sur une batterie 12 V offrent plus de confort par rapport à ceux marchant avec une pile 9 V. Ils constituent une alternative à ceux branchés sur secteur, mis à part le besoin de les recharger. La fréquence de charge varie en fonction du type d’animal et du périmètre de la clôture. On peut remédier à ce problème d’autonomie en couplant la batterie 12 V à un panneau solaire.

Lors de votre achat, ne vous fiez pas uniquement aux données concernant la longueur électrifiée. Prenez également en compte l’énergie par impulsion (en Joules) que l’appareil peut délivrer.

Le type d’animal

La puissance de l’électrificateur varie selon le type d’animal que vous souhaitez contenir. Un appareil plus performant (2 à 5 Joules) est nécessaire pour contenir des sangliers, animaux sauvages et autres animaux difficiles à contenir. Sa puissance est à ajuster en fonction du périmètre du terrain. Garder des animaux à poils longs ou à peau épaisse peut requérir ce type d’appareil si le terrain est très vaste. Pour les animaux domestiques, les vaches, les chevaux et les porcs, un électrificateur avec une puissance de moins de 0,5 Joule peut suffire.

Certains distributeurs proposent des clôtures électriques pour chèvres, moutons, cochons, volaille, bovins, chevaux et autres animaux domestiques. Ces « étiquettes » permettent à chacun de faciliter la recherche du modèle d’électrificateur de clôture dont il a besoin.

Le périmètre d’enclos

Pour faire simple, on souhaite parler ici du périmètre du terrain à clôturer. Il ne s’agit pas de la longueur totale des fils qui composent la clôture électrique, surtout s’il y en a sur plusieurs rangées. Plus le périmètre est grand, plus on a besoin d’un électrificateur puissant. Toutefois, il est à noter qu’une clôture avec plusieurs rangées de fils transporte mieux le courant. Il faut juste les relier entre elles, à intervalles réguliers, et dans la verticale.

Le type de végétation

Ce n’est plus un secret : si une plante touche un fil de la clôture, la puissance de la décharge électrique va diminuer. Ainsi, pour un terrain avec une végétation importante (des herbes hautes touchant les fils), un électrificateur plus puissant est requis. La puissance de l’appareil va combler la perte de charge engendrée par les plantes touchant les fils. S’il n’y a qu’à certains endroits que les fils sont touchés par la végétation, un appareil d’une puissance moyenne peut faire l’affaire. Si le terrain est catégorisé « sans végétation », c’est-à-dire sans risque de perte de charge via les plantes, un appareil de 0,25 joule est largement suffisant.

Pour résumer, prenez conscience de la puissance de l’appareil, de son mode d’alimentation, du périmètre maximal recouvert, et du type d’animal à éloigner avant d’acheter l’électrificateur de clôture. Il faut également installer un panneau indiquant, comme le veut la loi, que la clôture est électrifiée.