Quel tarif pour l’installation d’un volet roulant électrique ?

Très souvent, nos maisons sont dotées de volets battants. Ceux-ci ne nous permettent pas d’échapper au froid du matin et du soir pendant la période hivernale. Il convient donc d’opter pour quelque chose de nouveau pouvant vous offrir la protection nécessaire, un confort absolu. Les volets roulants électriques sont de plus en plus tendance de nos jours.

Toutefois, il faille avoir une idée sur leurs tarifs.

Quel est le prix normal pour s’équiper d’un volet roulant électrique ?

Généralement, les volets roulants électriques sont accessibles à des prix variant entre 400€ et 1200€. Bien entendu, la pose est comprise dans le montant. Afin d’avoir une certitude sur le tarif général, il faut recourir à ARTISAN SERRURIER VITRIER. C’est une entreprise composée de professionnels en matière de volet roulant électrique.

En gros, cette structure est spécialisée dans tout ce qui a rapport à la vitrerie et l’artisanat. En cas de besoin de professionnels pour la pose de vos volets roulants électriques, cette structure sera à même de vous aider.

Atouts du volet roulant

Le volet roulant possède plusieurs avantages. Il est idéal pour :

  1. Un meilleur confort
  2. Une sécurité sans faille
  3. Une bonne isolation

Auparavant, les volets roulants étaient destinés à la haute classe sociale. Cependant, ils se sont beaucoup plus répandus aujourd’hui avec un prix nettement inférieur. Il faut quand même retenir que plusieurs critères permettent de déterminer le prix d’un volet roulant.

Tarif variable en fonction du modèle choisi

Les volets roulants électriques peuvent varier selon leurs matières de fabrication.  Il existe trois formes de volets roulants :

  1. Volet roulant en bois
  2. Volet roulant en aluminium
  3. Volet roulant en PVC

Le volet roulant en bois

Le prix des volets roulants en bois varient entre 400€ et 1000€. Ils apportent fière allure à un domicile surtout quand ils sont conçus avec des voix exotiques. Cependant, les volets roulants en bois sont moins répandus. Ils nécessitent beaucoup plus d’entretien.

Sans quoi, ils ne sauraient résister aux insectes et aux moisissures pouvant les dégrader.

Le volet roulant en aluminium

Son prix est généralement compris entre 200 et 850€ sans le tarif de la pose. Le volet roulant est de plus en plus mis en avant aujourd’hui. Certes, il présente de nombreux avantages à savoir : un équipement assez robuste mais léger, un matériel facile à entretenir, isolant et durable.

Il est convenable pour les baies vitrées et toutes sortes de grandes ouvertures à cause de sa rigidité. Par ailleurs, le volet roulant en bois possède des capacités anti-effractions et anti-crochetage.

Le volet roulant en PVC

Le tarif d’un volet roulant PVC est compris entre 150 et 550€. Ce tarif est accessible à toute personne désireuse. Outre son tarif, il présente l’avantage d’être facile à entretenir et très résistant sur le long terme.

Les performances du volet roulant PVC en matière de sécurité et d’isolation sont également excellentes.

Établir votre budget en fonction de l’énergie

Il est important de prévoir l‘électricité dans votre projet d’installation de volets roulants. Avec un volet roulant, vous faites clairement plus d’économies d’énergie. La facture d’électricité se retrouve plus amoindrie. Il est donc important de faire une prévision sur les frais d’électricité qui vous reviendront suite à leurs installations dans votre logement.

Quel est le prix d’un volet roulant électrique doublé de vitre ?

Le vitrage de vos volets roulants est également une alternative. Il est évident qu’un volet roulant doublé de vitrage aura un coût nettement supérieur aux autres types de volet roulant. D’abord, le prix d’un volet roulant PVC doublé de vitrage est estimé entre 200€ à 650€. Ensuite, celui en bois varie entre 300 et 900€. Pour finir, le volet roulant en alu doublé de vitrage a un coût entre 300€ et 800€.

Importance du volet roulant pour un logement

Il est important d’intégrer le volet roulant électrique dans votre projet immobilier. En effet, il vous permet d’assurer un confort optimal dans votre logement. Aussi, votre sécurité et votre consommation en électricité est plus ou moins réduite.

Mieux, votre logement ou domicile est mieux équipé contre les diverses tentatives de cambriolage.

Différentes étapes de la consolidation des murs d’une habitation

Les murs constituent, avec la toiture, un bouclier protégeant l’intérieur d’une habitation. Pour cela, ils doivent être conçus de manière à assurer le maximum de protection possible. Malgré cette robustesse, le fait d’être constamment soumis aux intempéries et aux effets du temps fragilise peu à peu les murs. Les signes de cette usure peuvent se manifester par une simple décoloration ou des dommages plus importants tels que des fissures ou des trous.

Intervenir à temps

Chaque partie d’une habitation doit faire l’objet d’un suivi régulier. Cela permet de se prémunir des éventuels soucis et de détecter à temps les signes d’usure. Ignorer les dommages que subit une construction peut s’avérer très dangereux sur le long terme. Au fur et à mesure que la dégradation progresse, les risques d’accident tels que l’effondrement augmentent. Il est donc important de trouver des solutions dès les premiers signes. De plus, ce ne sont pas les solutions qui manquent. En effet, il suffit de faire appel à des façadiers pour qu’ils puissent effectuer les travaux de rénovation.

Le ravalement de façade

Le ravalement de façade est l’ensemble des techniques mises en œuvre afin de remettre à neuf la partie extérieure d’un bâtiment. Il consiste entre autres à combler les fissures ou les trous présents sur la surface des murs extérieurs, ainsi que l’application d’une nouvelle couverture extérieure telle que le crépis ou d’autres matériaux de finition. Contrairement à ce que l’on peut penser, cette opération ne vise pas seulement à remettre l’accent sur le côté esthétique. La remise à neuf concerne tous les aspects de la structure, c’est-à-dire le côté esthétique, et surtout le côté pratique. Les travaux de ravalement peuvent rajouter quelques années de plus à la solidité du bâtiment.

L’application d’une nouvelle peinture

La remise à neuf d’une façade inclut l’application d’une nouvelle couche de peinture. Avant de peindre la surface du mur, il est important de procéder à un décapage. Cette opération consiste à gratter la surface du mur avec du matériel abrasif afin d’éliminer l’ancien revêtement et les impuretés qui s’y collent. Cette tâche exige une extrême délicatesse puisque le but est seulement d’enlever la couche existante, et non d’abîmer le support. À l’issue de ces travaux, le bâtiment aura déjà l’allure d’une nouvelle construction, à quelques exceptions près.

Les travaux d’isolation

L’isolation a pour avantage de garantir le confort thermique au sein d’une habitation. Dans le cas d’une isolation par l’extérieur, le matériau isolant est placé sur les parois extérieures de la bâtisse. Le choix du matériau à utiliser peut dépendre des options proposées par les constructeurs ou bien des conditions climatiques de la région. Opter pour une isolation par l’extérieur comporte des avantages par rapport aux autres techniques. En effet, elle permet de mieux gérer l’espace, car les installations sont effectuées sur la partie extérieure, en laissant intact l’espace vivable.

Les travaux d’étanchéité

Les travaux d’étanchéité permettent de renforcer la structure d’un mur pour qu’il puisse mieux résister aux intempéries. En effet, sous l’effet des aléas climatiques, y compris les fortes pluies, la surface des murs se fragilise et se décolore. C’est ce qui contribue généralement à la formation de fissures. En renforçant cette partie de la structure, on peut la rendre un peu plus imperméable, et donc résistante aux éventuelles agressions.

Entre initiative et obligation

La rénovation s’avère être bénéfique sur tous les plans. En effet, elle permet d’éviter les risques d’effondrement, pouvant mettre en péril les occupants du bâtiment, ainsi que les gens et les habitations qui se trouvent à proximité. Elle permet également de remettre une ancienne construction en état, comme s’il s’agissait d’une nouvelle construction. Les renforcements effectués accentuent la pérennité et la résistance du bâtiment pour les années à venir. Il est également important de savoir que les travaux de rénovation s’avèrent obligatoires au moins tous les dix ans. Cette mesure s’appuie sur des normes sécuritaires en vigueur et son non-respect peut mener à des sanctions financières.

Les éléments de zinguerie qu’on doit retrouver sur une toiture

Lorsque nous parlons de rénovation de toiture, nous oublions souvent qu’il existe une étape de finition, dont la pose de zinguerie. Pourtant cet ensemble d’éléments est indispensables pour assurer non seulement l’étanchéité de la toiture mais également celle de la maison. Découvrez ici les éléments de zinguerie que vous devez retrouver sur la toiture de votre maison.

Optez pour des équipements électriques en bonne qualité

L’installation électrique d’un bâtiment est parfois difficile, car elle nécessite une grande responsabilité et beaucoup d’attention pour éviter certains risques (échec d’installation, panne de courant fréquente, cour-circuit, incendie, etc. ). En effet, les travaux électriques demandent la compétence d’un professionnel suivant le sujet d’utilisation et paramétrage des équipements adéquats et de bonne qualité. Avant toute intervention, un diagnostic st fait à partir du local de commande et protection électrique, jusqu’aux bornes d’alimentation et les socles des prise de courant.

Voici quelques équipements et outillages professionnels à utiliser lors des travaux électriques d’un bâtiment :

Disjoncteur phase et neutre avec bornes automatiques

Ce type de disjoncteur sert à sectionner les circuits électriques en phase et neutre. Celui ci dispose d’une entrée et sortie à bornes automatiques et s’installe facilement dans le tableau électrique. À partir de la connexion avec les bornes automatiques, cet appareil offre plusieurs avantages comme :
– le confort et le gain de temps, car l’installateur n’a besoin d’utiliser aucun outil ;
– la rapidité de visualisation des défaillances ;
– la facilité de rétablissement du circuit électrique : aucun changement de fusible en cas de panne ;
– un excellent contact avec tout type de support et pas besoin de vis à desserrer avec le temps ;

D’ailleurs, cet appareillage assure la protection d’un bâtiment contre les circuits luminaires et les surtensions électriques. Grâce à son pouvoir de coupure jusqu’à 50 kA, il permet de répondre à certaines contraintes d’installation professionnelle ou particulière.

Parafoudre modulaires pour logement

Quels que soient leurs origines, les parafoudres servent à protéger une installation électrique en limitant certaines surtensions. Pour ce faire, ils évacuent l’énergie vers la terre. Grâce à la cassette de rechange avec voyant, le remplacement du parafoudre est facile. En plus, cet appareil est du type auto-protégé, c’est-à-dire que l’installation ne demande plus de disjoncteur protection. À part cela, la fonctionnalité de cet appareil est visible dans le tableau électrique, et l’alimentation est possible à l’aide du peigne vertical.

Par ailleurs, les parafoudres s’adaptent à tous types d’installations électriques à faibles risques comme dans les zones urbaines, les basses montagnes et les plaines. Il faut choisir ceux qui disposent d’une protection intégrée.

Le télérupteur unipolaire

Le télérupteur est un petit appareil électrique qui sert à allumer un même éclairage dans différents endroits. Cela implique la mise en place de plusieurs boutons-poussoirs dans une boîte d’installation encastrée. Pour plus de confort, le télérupteur engendre une silencieuse voix durant sa manipulation.

Par ailleurs, le télérupteur unipolaire convient à tout type d’installation (installation neuve ou rééquipement), et est compatible avec des ballasts électroniques et les lampes fluocompactes.
Ce petit appareil est équipé de bornes automatiques pour accorder les fils sans outils.

Les moulures, goulottes, câbles et gaines électriques

Ces types de protection servent à rénover facilement les travaux d’installation électrique, sans détruire une partie des murs. En effet, ce sont des dispositifs adhésifs qui s’adaptent facilement à tout support et s’intègrent dans tout type d’intérieur.

Ces outillages sont utiles lors d’une installation électrique en apparent. Ils sont classés en trois catégories : moulures, goulottes et gaines électriques, et peuvent recueillir toutes dimensions de fils ou câbles électriques (petites, moyennes et les plus grandes).

L’utilisation de ces dispositifs assure une praticité, mais pour assurer l’immobilité des câbles ou fils électriques, il faut utiliser des accessoires de fixation comme les boîtes de raccordement, les colliers de serrage, etc.

Il reste encore beaucoup d’appareils et outillages électriques qui favorisent la sécurité et protection d’un bâtiment, mais pour obtenir un résultat parfait comme des professionnels, il faut travailler avec précaution et utiliser les équipements adéquats. Et pensez à contacter un professionnel en diagnostique pour constater les défaillances électriques.

Architecture et construction : ce qu’il faut savoir sur le terrassement

Avant de débuter l’édification d’un bâtiment, il est nécessaire de connaître l’une des étapes primordiales de la construction : le terrassement.
En effet, il est tendance de penser directement au placement des fondations o lorsqu’on parle de construire une maison. Néanmoins, avant d’entamer quoi que ce soit, il faut savoir étudier l’aménagement du sol et procéder au « terrassement ».
L’article suivant va vous guider dans la concrétisation de votre début de chantier.

Le terrassement

Le mot « terrassement » dans le langage de construction désigne la préparation du terrain. Il consiste à échanger des quantités énormes de terre, de sol, de roche ou d’autres sous-produits minéraux pour avoir un terrain stable. Par exemple, un terrain sableux nécessitera plusieurs fondations dû au fait qu’il soit instable et profond. De fait, avant de construire une maison, consultez des professionnels pour procéder à des fouilles ou réaliser des tranchées de terres. Ils se chargeront également d’enlever les minéraux non stable, de nettoyer et de débarrasser les déchets restants dans le sol.
Le terrassement se fait en 4 étapes et c’est ce que nous allons voir ci-dessous.

Le bornage

Pour commencer un chantier de terrassement, le bornage est la première étape à suivre. Celui-ci permet au propriétaire de mesurer et de délimiter son terrain de construction. Il sera nécessaire de faire appel à un géomètre pour cette action, car il propose un travail professionnel où il placera avec précision et exactitude les repères de votre terrain afin de le délimiter. En effet, il faut connaître les limites d’un territoire pour pouvoir séparer votre bien de celui des autres, puisqu’il est possible de poursuivre en justice toute personne ayant effectué un mauvais bornage, Cela peut aller d’une amende jusqu’à l’obtention même de son territoire si le votre est touché (d’après l’article 2272 du Code Civil).
Le prix du bornage varie entre 300 et 1800 € frais y compris.

Le système d’évacuation

Une fois la délimitation du terrain établie, il est temps de passer à la seconde étape qui consiste à élaborer le système d’évacuation. Celui-ci est recommandé pour éviter le ruissellement des eaux de pluie sur le chantier, l’infiltration de l’eau dans le matériel, et la stagnation des eaux en excès. Plusieurs canalisations bétonnées et inclinées de 5 % pour former une pente, seront donc installées sur le terrain, permettant ainsi l’évacuation. Ensuite, il y a la mise en place d’autres méthodes complémentaires comme le drain situé dans la fondation du bâtiment pour prévenir contre l’humidité du sol. Le caniveau doit être situé, à son tour, à l’entrée d’un garage, d’un portail ou d’une terrasse pour éviter les eaux stagnantes. Le regard quant à lui est situé au-dessus des canalisations, créant ainsi une conduite souterraine qui va permettre aux travailleurs et au propriétaire de faire une visite d’entretien.

Le goudronnage

Comme son nom l’indique, la troisième étape se repose essentiellement sur l’instauration du goudron sur le chantier. De base, le goudronnage est utilisé pour créer des routes, des chemins et des voies permettant d’accéder au terrain. Il s’agit ici d’un travail rigoureux, car pour le réaliser, les ouvriers utilisent des outils de construction élaborés passant par la pelle, la tractopelle, jusqu’au bulldozer. Mais avant de passer aux outils, une planification sera nécessaire avant tout : il est à noter que les travaux de réalisation d’une voie d’accès vers un terrain coûtent cher. Ainsi, il faut prévoir des plans minutieux. En parallèle, le choix du matériel pour le goudron devra-t-être bien réfléchi puisqu’il est aussi coûteux. ; Par exemple, le coût du goudronnage bitume varie entre 20 et 23 € le mètre carré (m²) tandis que le goudronnage enrobé est entre 29 à 39 € le mètre carrée (m²).

La viabilisation

 

Dans cette dernière étape, on s’approche de la finalisation du terrassement, mais aussi du début de la construction du bâtiment. Viabiliser le terrain c’est mettre en place le multi-système eau, électricité, et gaz à l’aide des placements des tuyaux de plomberies, des fils électriques, des points d’accès réseaux, et de tout autre source d’alimentation utiles aux futurs besoins du foyer. Cependant, les installations doivent être bien conformes aux normes exigées afin que les services concernés par ces réseaux puissent accorder leurs autorisations pour l’approvisionnement de votre chantier. Par exemple, le réseau d’eau doit-être enregistré auprès de la mairie et de la société d’eau existante du pays pour être raccordé au chantier. Pareil pour le réseau d’électricité qui doit être enregistré auprès de l’Enedis, le responsable actuel du réseau de distribution et des aménagements.

L’électricité dans la vie de l’Homme

L’électricité et le magnétisme sont deux énergies liées. Les deux phénomènes physiques existent depuis la nuit des temps. L’électricité est une forme d’énergie, un ensemble de phénomènes physiques unis dans la présence et le mouvement d’une matière possédant une charge électrique. A chaque époque, l’Homme a essayé de les étudier et de les observer à travers la foudre : une manifestation très spectaculaire de l’électricité. La théorie de l’électricité et sa compréhension sont très récentes, découverte en XVème siècle par de nombreux savants comme William Gilbert, Isaac Newton et Otto Guericke.

Quelles sont les techniques de production d’électricité ?

Les techniques de production sont plusieurs. L’une des plus utilisées est l’énergie hydroélectrique qui s’alimente en eau à l’aide des barrages pour avoir de l’énergie renouvelable. En effet, la centrale hydroélectrique est installée généralement dans les cours d’eau. IL y a également l’énergie nucléaire qui est une énergie fossile. Elle est produite grâce à la fission d’atomes lourds comme de l’uranium et du plutonium, des minéraux radioactifs naturels. L’énergie thermique, quant à elle, est produite par la flamme au charbon ou au fioul de gaz à l’aide d’une grande chaudière. La chaleur va transformer l’eau froide en vapeur qui fera fonctionner la turbine afin de produire l’électricité. Elle est aussi une énergie fossile. Il y aussi l’énergie éolienne. Une éolienne est un grand pilier muni de palme. La centrale éolienne est maintenue par l’énergie cinétique du vent. Cette dernière est transformée en énergie mécanique qui est ensuite convertie en énergie électrique. Par ailleurs, dans la vie quotidienne, même dans l’industrielle, on utilise souvent l’énergie solaire. Cela consiste à réformer la lumière du soleil capté par les panneaux solaires en électricité. Ce sont les techniques les plus utilisés dans presque tous les secteurs de l’économie.

A quoi sert l’électricité ?

Elle est utile que ce soit dans des utilisations domestiques, urbaines, industrielles, et dans plusieurs domaines. Elle est surtout nécessaire dans les consommations domestiques. En effet, elle est principalement destinée au confort de vie. Par exemple, un logement comporte au moins 6 appareils électriques qui sont dans le lavage, l’audiovisuel, l’éclairage, l’électroménager, la climatisation et l’informatique. Il y a aussi la technologie. Cela nécessite un branchement et un chargement à l’électricité seulement comme les ordinateurs et les smartphones.
Par ailleurs, dans les grandes industries, le courant électrique est traité différemment. Saviez-vous que dans une usine de production de bas et de collants comme Nylstar, Rhodia, ou Radici, une simple panne électrique pourrait arrêter la production ? En effet, ils emploient de grandes machines qui doivent marcher en continu, permettant ainsi de créer de micro-fils pour leurs produits. Donc la moindre coupure de courant casserait ces fils qui sont délicats à la fabrication.

Quels sont ses inconvénients ?

L’électricité est l’énergie la plus utilisée de nos jours. De fait, tous les pays du monde accourent pour s’en procurer. Cependant, elle est difficile à stocker. Comme évoqué plus haut, le courant électrique est alimenté de plusieurs manières, soit par l’énergie éolienne, soit par l’énergie hydraulique et hydroélectrique, soit par géothermique ou par biomasse (charbon, bois, carburant, déchets végétaux, etc. …). Mis à part l’énergie hydraulique, les autres techniques dépendent constamment des conditions climatiques et météorologiques. Donc, il est nécessaire d’en produire en continu, provoquant ainsi des pénuries et des surtensions chez certains foyers.
D’ailleurs, la distribution de cette énergie reste aussi problématique. A la base, elle est amenée en ville depuis les centrales électriques à l’aide de plusieurs infrastructures de transports reliés entre elles, que l’on appelle ligne à haute tension. Comme ce réseau ne peut transporter que 225,000 Volts au maximum, on constate des pertes au court du trajet à cause de l’effet de Joule et de l’électromagnétisme. Sans parler de l’installation des fils électriques qui pose aussi problème, car elle nécessite une intervention délicate et la moindre erreur pourrait coûter chère.

Quelles sont les étapes de construction d’une maison ?

Voulez-vous construire une maison ? Sachez que vous devez respecter certaine étapes. Découvrez-les dans l’article qui suit.

Le terrassement

Il s’agit de la modification totale d’un terrain en une surface prêt à bâtir. Ce travail consiste à déplacer des roches, terres ou autres matériaux afin que les travaux liés à la fondation se passent sans encombres. Selon la nature d u terrain les professionnels procèdent au remblayage ou au déblayage selon le cas. Le premier sert à aplanir un terrain préalablement creusé en y ajoutant des matériaux de construction.

Pour obtenir une surface de terrain prêt à bâtir, les professionnels doivent suivre les étapes suivantes :

– la mise en place des piquets pour bien distinguer les zones 

– la conceptualisation d’un système d’épandage d’eaux 

– la matérialisation des voies 

– la mise en place du film géotextile 

– le remblaiement à l’aide de terres ou gravat.

Installation d’un système d’assainissement

Ce dispositif consiste à améliorer la situation sanitaire d’un bâtiment. Il s’agit d’éliminer les facteurs de pollution. Son principal objectif est de garantir la bonne santé des occupants en supprimant le cycle de propagation des maladies . Cette méthode consiste à fixer des canalisations sous la terre pour pulvériser les eaux et les épurer pour empêcher les rebuts. Elle vise également à à installer des tuyaux d’écoulement sur un support de gravillon, qui sont recouverts par un feutre et une couche de terre. Si vous disposez d’un terrain individuel d’au moins 20m2, le choix d’un système d’assainissement compact à micro-station d’épuration est conseillé .

Il est important d’effectuer des travaux d’assainissement pour éviter certains risques sanitaires. De plus , ils sont obligatoires et soumis à diverses législations.

La démolition

Généralement, il s’agit de la déconstruction partielle ou totale d’un bâtiment déjà existant. Donc, si vous disposez d’une maison ancienne et que vous pensez à la rebâtir, vous devez posséder à la démolition partielle ou totale. selon le cas. .

Une démolition est de mise lorsque le bâtiment ou la maison ne respecte plus les normes en vigueur.

Mais un permis de démolir est obligatoire quand le terrain est affilié à une surface d’un autre secteur particulier.

Étant donné que les travaux de démolition sont assez complexes, vous devez toujours contacter des une entreprise spécialisée en terrassements. Celle-ci possède le matériel adapté et les agréments nécessaires pour effectuer cette tâche.

Le choix des matériaux

Pour garantir la durabilité de votre maison , investissez dans des matériau de qualité optimale. Voici ceux qui sont adaptés à chaque partie de votre maison

1- Le type de mur pour votre maison

Vous avez le choix entre les murs en briques qui ont des propriétés isolantes, le béton qui est très résistant, les murs en pierre naturelle qui apportent plus d’esthétique et les murs en plâtre qui se distinguent par leur simplicité.

2- Le matériau de toiture

Que ce soit une toiture plate, en pente ou arrondie, divers types de revêtements sont à votre disposition. Il s’agit des tuiles en terre cuite ou en béton. Actuellement, vous pouvez également opter pour des tuiles en métal, en zinc, ou en bois. Le choix du revêtement dépend de vos exigences et des contraintes qui peuvent se présenter.

3- La forme de cloison

Les cloisons se déclinent en diverses formes et modèles en fonction de vos exigences. Vous pouvez d’ailleurs choisir entre les panneaux alvéolaires, les plaques de ciment imperméable, les briques de verre, les plaques de plâtre, le béton cellulaire, et le cellulose et gypses. Ils ont tous des avantages indéniables pour rehausser le style de votre maison.

Tout savoir sur le muret

Construire un muret autour de votre jardin lui attribuera un certain cacher. Mais pour y arriver, il faut savoir bien choisir le matériau que vous allez utiliser. Retrouvez alors dans cet article, les 3 principaux matériaux qui pourront servir à son installation, la fonction d’un muret et son type d’assemblage.

Les 3 principaux matériaux pour sa construction

Avant de procéder à la construction de votre muret, il faut bien choisir son matériau composant. Il existe d’ailleurs une multitude de choix, mais ceux qui seront présentés ici sont les 3 principaux matériaux les plus utilisés.

La pierre

Celle-ci est un matériau qui donne à votre muret un côté naturel. En effet, elle offre un plus de charme authentique à votre paysage. Par ailleurs, elle est solide, durable et très résistante. C’est pour cette raison qu’elle est la plus appréciée en matière de construction. Il existe d’ailleurs deux types de pierres : naturelles et reconstituées ( appelées aussi pierres de taille ). Le premier type est plutôt cher vu qu’ il offre de l’authenticité avec plusieurs aspects ( granit, grès, calcaire, … ) tandis que le second est bon marché ( en béton et imitant l’aspect des pierres naturelles ).

Le béton de bloc

Appelé aussi parpaing ou moellon, le bloc de béton est moulé. Ce type de matériau s’adapte à tout type de constructions. Par ailleurs, il est robuste, facile à mettre en œuvre et avec un coût abordable. En outre, il existe deux types de béton pour ce bloc :

– le béton traditionnel : qui est de bon marché et solide ;
– le béton cellulaire : qui est isolant, léger et se perce facilement et est constitué de chaux de sable et de ciment avec un remplissage d’air.

Et pour plus d’esthétique, il est recommandé de l’enduire.

La brique

Connue pour sa noblesse, la brique est très utilisée que ce soit par les particuliers ou par les professionnels. Il y a différents choix entre les briques. Tout d’abord, les briques ordinaires qui doivent être enduites et qui sont souvent dépareillées. Ensuite, celles qui sont réservées aux travaux de construction. Elles sont d’ailleurs imperméables et très robustes. Et enfin, les briques de parement résistantes, qui offrent un large choix de teintes et de textures. Mais pour que votre muret soit solide, il va falloir que vous utilisiez des briques pleines.

Le type d’assemblage

Il faut savoir que vous ne pouvez pas assembler ces matériaux comme vous le voulez. En effet, il existe deux manières de le faire :

– soit en pose sèche : réservée au muret en pierres et consistant à placer les pierres les unes sur les autres ;
– soit en pose maçonnée : destinée aux parpaings et aux briques (assemblés avec un mortier).

Pour assurer de votre sécurité lors des travaux, il vaut mieux confier le travail à un maçon professionnel.

La fonction d’un muret

C’est en fonction de votre besoin que vous devez prévoir la hauteur de votre muret. Un muret peut alors avoir 3 fonctions distinctes :

la rétention : le muret sert à soutenir un terrain en surplomb comme la terrasse ( à savoir que son hauteur dépend de ce terrain ) ;
la séparation : il peut alors servir à séparer deux zones différentes avec seulement 0,80 ou 1m de hauteur ;
la clôture : il sert surtout à clôturer et entourer votre propriété.

Dans ce dernier cas, il faut qu’il ait une bonne hauteur pour plus de sécurité et pour préserver votre intimité vis-à-vis de votre voisinage.